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    Tours et ses arbres
    L'adresse courte de cette page : pressibus.org/arbres

    Le livre
    L'arbre à Tours, de 1600 à 2011 :

    Consultation complète et gratuite

    226 pages grand format
    730 illustrations
    Chapitre 1 : Avant le livre, de 2009 à 2011
    avec en principales sous-pages : Bilan arbres du tramway
    Ginkgo abattu, Mail du Sanitas, Place Choiseul, Jardin confisqué,
    Cèdre de Verdun, Casernes Beaumont-Chauveau, Autoroute,
    Avenue de Grammont, Bois de Grandmont, Trame verte du PLU,
    Avenue de l'Europe, Jardins St Lazare, Irrespect de la Charte
    Aseptisation du quartier du Sanitas, Galeries de photos

    Chapitre 2 : Compléments provenant du livre :
    Ajouts divers (Intro, etc.), Les bienfaits de l'arbre dans la cité
    L'arbre à Tours à travers les siècles, de 1600 à 2000
    Les luttes de l'Aquavit de 1993 à 2006
    Une chaîne d'irresponsabilités, de 1995 à 2011
    Les luttes en France contre les abattages abusifs, de 2004 à 2011
    Comment améliorer la situation ?

    Chapitre 3 : Après le livre, 2012 et après avec en sous-pages :
    Haut rue Nationale, Place Mame , Jardin Botanique, Pin à Joué,
    Jardin Meffre, Vieux Groison, Hopital Bretonneau, Halles,
    Orme de la gare, Bd Preuilly, 2018 : toujours le mépris

    Annexes : Toutes, La balade des ginkgos tourangeaux,
    La carte des dégradations du patrimoine arboré, de 1996 à 2011

    Le patrimoine arboré de la ville de Tours est victime de saccages municipaux répétitifs qui ont atteint leur paroxysme en 2011
    avec l'abattage de 800 arbres en centre-ville, plus de 600 d'entre eux étant abusifs que ce soit pour le tramway ou des opérations de rénovation.
    Ce phénomène a commencé en 1995 avec l'arrivée d'un nouveau maire, Jean Germain. En infraction avec la Charte de l'Environnement,
    il s'est comporté en délinquant environnemental, usant de son pouvoir d'influence et de propagande.
    Ce site, en interaction avec le livre, présente précisément cette dérive et en étudie les divers aspects.


    Alain Beyrand
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