Accueil
Evolution de la généalogie Beyrand
- 1969, j'ai alors 17 ans, je commence à réunir les photos familiales, à les légender... Un ou deux ans après, je commence à interroger les anciens de la famille sur leur ascendance. Je dessine les premiers arbres.
- 1986, je fais une tentative timide aux archives départementales, puis une seconde avec mon père, et c'est alors que les recherches généalogiques commencent vraiment. Mon père, Bernard Beyrand, qui est depuis peu à la retraite va y passer beaucoup de temps. De 1986 à 1992, il découvrira l'essentiel de mon ascendance. Retraité de la SNCF, il a la facilité de se déplacer dans les archives départementales voisines.
- 1992, je change d'ordinateur et je me dis que c'est l'occasion de passer l'ancien à mon père. Remplacer le système des fiches par un logiciel informatique apporte bien des avantages et permet surtout de pérenniser ses informations en pouvant les distribuer. Le désavantage, c'est qu'il y a des milliers de fiches à saisir et c'est un très gros travail, que mon père mettra 3 ans à finir (emploi du logiciel Généatique, auquel je reste ensuite fidèle).
- 1993, je me lance dans la généalogie de mon épouse. Durant plusieurs années, je vais faire des visites régulières au Archives départementales de Troyes et quelques trop rares visites à celles de Sens et Melun et même une fois en Vallée d'Aoste.
- 1995 environ, mon père déjà membre depuis plusieurs années du CGDT (Centre Généalogique de Touraine) participe désormais très activement aux relevés des registres paroissiaux. Il va y consacrer beaucoup de temps et abandonner les recherches familiales, même s'il y a parfois des recoupements avec ses relevés. Il acquiert une certaine facilité à la lecture des textes anciens (facilité que je regrette de ne pas avoir...)
- 1996 comme mon père est peu intéressé par la généalogie descendante, je fais des recherches assez poussées sur la famille proche, et distribue à l'occasion des éléments de nos recherches. J'y fais connaissance, notamment, d'une cousine issue de germain, Sophie Besnard, qui se lance dans la généalogie quelques années plus tard. Je recherche aussi les vieilles photos, avec plus ou moins de succès.
- 2001 une autre cousine issue de germain, alors inconnue, Valérie Montès nous apprend que mon grand-père et celui de Sophie avaient un autre demi-frère, abandonné à l'assistance publique. Elle vient de percer le mystère de la mère inconnue de son grand-père.
- 2004, deux ans après le décès de mon père, poussé par Sophie qui entreprend d'organiser une cousinade, je "replonge" dans la généalogie. Il faut dire que les recherches sur Internet se révèlent bien plus fructueuses que quelques années plus tôt. Surtout en généalogie descendante, où je trouve assez rapidement quelques 150 cousins généalogistes éloignés. En généalogie ascendante, mon père était monté tellement "haut" qu'il n'y plus grand chose à trouver (il n'y a pas encore de percées vers Charlemagne). Tout de même, surtout par recoupement, il y a quelques avancées... Du côté champenois, la mise à disposition (par Yves Beauvillé) des relevés d'archives paroissiales de quelques communes clés s'avère très précieuse et me fait plusieurs fois gagner 3 ou 4 générations. Je mets au point ma façon de structurer cette importante généalogie, avec des "ascendants référents", des "descendants pivots", des "cousins remarquables" (voir explicatif).
- 2005, le 13 mars, je mets en ligne le présent site, de façon limitée pour les données publiques, de façon complète sur un accès privé, qui disparaîtra lors de mon passage à Généanet.
- 2008, mes données se sont élargies, notamment avec des informations mises à disposition sur Internet. Je me décide à mettre sur Généanet mes plus de 50.000 cousins (hors contemporains). Je le fais d'une façon très spécifique en enrichissant les pages Généanet de la structure que j'ai introduite en 2004.
- 2012, le 4 décembre, je perce le "mur du temps", celui qui permet d'atteindre Charlemagne. C'est du côté limousin. Je choisis de ne monter que graduellement. Je m'arrête à des "ascendants pivots" - au prénom supplémentaire YYY - à l'ascendance reconnue pour prendre des chemins de traverse et explorer des branches "sans issues" et des cousinages annexes. C'est ainsi que je ne remonte pas sur Charlemagne, mais sur son beau-frère.
- 2013, le 9 novembre, j'ajoute au présent site les dépouillements d'Yves Beauvillé (archives paroissiales et censiers) autour de Saint Aubin dans l'Aube, qui m'avaient été si utiles dans les remontées de certains ascendants champenois.
- 2014, le 24 juillet, après avoir à nouveau percé le "mur du temps", encore du côté limousin et aussi du côté tourangeau, je mets en place un système de 17 branches qui permet de se référer à chacun des 17 points de départ. L'arbre Généanet dépasse alors les 120.000 individus. 293 ascendants référents et 2025 cousins remarquables sont référencés. En remontée, outre un beau-frère de Charlemagne, j'atteins deux de ses enfants et une de ses tantes. J'attends pour inclure Charlemagne. Une catégorie de cousins remarquables classés dans la rubrique "Ascendants épines généalogiques" montre que quelques liens de parenté ne sont pas certains. En fonction d'éléments nouveaux, il m'arrive de déplacer, voire de supprimer, des liens. Une ascendance, surtout si elle ne dépend que d'une seule branche, n'est donc jamais acquise. Il en est de même pour tous les cousins dont la parenté n'est pas certaine et qui sont reconnus par le prénom XXX. Quant au prénom ZZZ, il désigne des personnes non cousines mais ayant des liens forts avec plusieurs cousins. En décembre une nouvelle percée est trouvée du côté champenois, permettant d'explorer la bourgeoisie de Troyes, notamment avec une nouvelle page sur ce site consacrée aux "hoirs Musnier".
- 2016, nouvelles percées du côté berrichon et tourangeau. Le 14 juillet, Charlemagne est référencé, son lien d'ascendance souvent multiple (plus de 300 000 liens pour la souche Adrien et Emeline) est indiqué sur chacun de ses descendants. De même le lien d'ascendance est marqué sur chacun de ses ancêtres. J'atteins ensuite Attila, Constantin le Grand, Mahomet, les avancées les plus lointaines atteignant l'an 200. Je ne pense pas aller au delà à court terme, voire à moyen terme.
- 2023, les lointaines avancées atteignent la date de -600, les percées vers Charlemagne se sont multipliées (27 actuellement, cf.page voisine). L'arbre Généanet dépasse les 165.000 individus, pour 321 ascendants référents et 3116 cousins remarquables. La puissance de Généanet me permet maintenant de réaliser rapidement des généalogies alliées (page voisine).
Retour à la page d'accueil