En complément au compte-rendu du 21 juin 2012 du Groupe Citoyen de la Passerelle Fournier, je dresse ici un relevé chronologique de mes rapports avec la mairie, plus précisément avec son représentant, M. Mickaël Cortot, conseiller municipal, à propos de la passerelle Fournier de janvier à juin 2012 :
- 3 janvier : première réunion du groupe de travail sur la passerelle Fournier. Je suis élu comme représentant des habitants au comité technique, sur la base d'un programme qui visiblement ne plaît pas à M. Cortot.
- 7 février : seconde réunion du groupe (compte-rendu du groupe citoyen le 10 février, il n'y a pas de compte-rendu de la part de la part de la mairie). Jusque là, les échanges par email étaient bridés puisque la mairie, seule émettrice, cachait le nom des destinataires, ce qui ne s'est produit dans aucun groupe de travail de CVL. Cela empêche les membres du groupe d'échanger entre eux. Devant la pression des habitants M. Cortot accepte de ne plus cacher ces adresses, sauf pour les destinataires ne le souhaitant pas. Le première réunion du comité technique est prévue au tout début du mois d'avril. La mairie estime inutile une réunion du groupe de travail pour la préparer.
- 10 avril : sans nouvelle de cette première réunion du comité, j'interroge M. Cortot par email. Pas de réponse.
- 18 avril : une réponse ayant été apporté au CVL Est du 12 avril (retard de deux mois), je demande à M. Cortot de la signaler à tous les membres du groupe. Pas de
réponse.
- 5 juin : à l'occasion d'un autre sujet (rampe cycliste de la rue Marcel Sembat) j'écris à M. Cavalier, coordinateur des CVL (dépendant de M. Cortot), je signale que le retard de deux mois est atteint, qu'aucune date ne m'a été communiquée. Pas de réponse.
- 15 juin : un mail avec destinataires cachés annonce qu'une réunion du groupe de travail aura lieu le 20 juin pour préparer la première réunion du comité technique.
La suite est raportée dans le compte-rendu du 21 juin 2012 du Groupe Citoyen de la Passerelle Fournier.
Je signale, de plus, que je me suis attaché à l'essentiel, la communication avec la mairie d'une part et celle avec les habitants d'autre part. C'est indispensable pour jouer un rôle de représentant des habitants. Cela m'a amené à gommer d'autres divergences avec la mairie, en particulier :
- les propos réitirés du maire, contraires aux objectifs de l'étude (voir les compte-rendus des 23 décembre, 10 février, 18 février, 21 mars)
- les points d'aménagements légers pouvant être effectués rapidement (compte-rendus des 4 janvier et 12 février)
- l'explicatif peu crédible sur le retard de presque trois mois de la première réunion du comité technique (cf. compte-rendu du 21 juin)
Alain Beyrand, le 22 juin 2012
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