- Jeu vidéo pour salles d'Arcade, créé en 1990 par Leland Corporation
(U.S.A.), puis distribué par Atari puis Capcom.
- Comme expliqué dans notre page Origines, ce jeu est une transposition sur
machine à sou (à jeton) du jeu Infection. Il eut une belle renommée. C'est la
raison pour laquelle son nom Ataxx fut souvent par les programmeurs qui
reprirent ce jeu.
Le premier à s'appeler Ataxx !
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- Plateau 7x7 aux motifs changeants, pièces bleuâtres et rougeâtres, l'humain
commence en rougeâtre. Plusieurs niveaux, blocs. Autres descriptions et photos
dans la page Origines et aussi Stratégies et Principes.
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- L'ordinateur peut y jouer contre 5 ou 6 opposants dont on voit
l'allure sur le bord de l'écran. Le premier de ces ennemis s'appelle "Colony"
et ressemble à un agglomérat de fantômes ou de spectres. Colony est très idiot
et un joueur inexpérimenté peut facilement le battre.
Un jeu à sous, sinistre et idiot
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- Sur l'autre côté de l'écran, il y a une horloge avec du sable qui tombe
dessus. Car, dans cette version, on joue contre le temps ! (n'oublions pas que
c'est une machine à sous...)
- Chaque pion-"tâche" compte pour 100 unités de temps. Que l'on gagne
ou que l'on perde une partie, le jeu est interrompu quand le décompte du temps
atteint 0. Ainsi la machine doit-elle apporter du profit !... On ne peut pas
acquérir de bonus de temps, on doit placer le plus de pions possibles...
- Par ailleurs, le jeu garde les statistiques des scores, si l'on a
entré ses initiales et sa date de naissance au démarrage. En conséquence, si on
joue bien, on est amené à combattre un adversaire de niveau supérieur.
- Ataxx est un jeu jamma, c'est-à-dire qu'il est capable d'être
installé sur n'importe quel meuble compatible jamma (JAMMA = Japanese AMusement
Manufacturers Association, ou quelque chose de ce genre). Ainsi, les
collectionneurs de jeux vidéos d'Arcade pourront y jouer encore longtemps !
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- Voici les adversaires qui sont à affronter :
- en haut Mush Man et Cephalo Man (le plus fort)
- au centre Gorgon et Droolman
- en bas Colony (le plus mauvais).
© Leland 1990.
Informations et 1ère photo de Gary Heller