L’opération COVID a été lancée comme une Blitzkrieg psychologique fulgurante, comme une guerre médiatique brutale pour créer un choc initial, suivit dans la foulée d’un confinement immédiat, de l’enfermement des populations. Les instigateurs de cette pandémie ont une connaissance poussée de la psyché humaine, des mécanismes de la psycho trauma et de la suractivation du système limbique grâce à un matraquage médiatique sans précédent couplé avec une censure inédite.
[...] "La peur et l’anxiété, couplée à l’isolement humain décompensent psychologiquement les individus et ils ont une panne… Ils ne sont plus capables d’une pensée rationnelle. Une psychose globale est en cours et les gens se tourneront alors vers toutes fausses promesses qui réduiront la douleur émotionnelle qu’ils ressentent à cause de la peur. Vous pouvez donc leur faire miroiter un faux vaccin et ils y croiront, parce qu’ils ne veulent plus ressentir la douleur. Si vous remettez en question ce récit, ils deviennent agressifs, parce que vous les ramenez à cet état de douleur émotionnel dans lequel ils ne veulent pas se trouver. Ils ont littéralement perdu la tête, et les gens qui ont élaboré tout cela sont absolument diaboliques, mais aussi très brillants !" - Dr. Zelenko.
"Le confinement est une arme de destruction massive." - Jean-François Toussaint, Directeur de l’institut de recherche biomédicale et d’épidémiologie du sport. [...] Le Pr. Jean-François Toussaint, invité de Cnews, s’exprimant au sujet de ces mesures iniques entreprises par le Gouvernement, notamment la mise en place d’un Couvre-feu renforcé, n’a pas hésité à parler de sacrifice de masse : "On est plus sur des mesures qui ressemblent à celles que les Incas prenaient face au solstice et face aux grandes catastrophes climatiques, en sacrifiant leurs plus beaux adolescents !" L’image du sacrifice n’est pas ici outrancière ou hors de propos, puisque toutes ces mesures ne s’appuient en réalité sur aucun fondement scientifique véritable et sont contraires à toute raison. Elles sont des mesures politiques volontaires, dont les instigateurs sont pleinement conscients de ce qu’ils mettent en oeuvre. La sédentarité et la dégradation psychologique liée à l’isolement contribuent en réalité à l’effondrement du système immunitaire. On peut d’ailleurs légitimement se demander si pendant le premier confinement, le fait d’avoir enfermé dans la plus grande promiscuité les personnes malades contaminées, avec celles qui sont saines n’était pas en fait le meilleur moyen de créer de nouveau foyers de contagion au sein même des familles et d’accroître ainsi la transmission du virus au sein de la population…
Aussi, pourquoi ne pas avoir tout simplement réquisitionné toutes ces cliniques, avec 115. 000 lits de disponibles ? Pourquoi ne pas avoir eu recours aux médecins réservistes et aux étudiants de fin de cycle pour éviter d’avoir à bloquer l’entièreté du pays ? En effet, en temps de guerre, si guerre il y a, comme le pantin qui nous sert de Président n’a eu de cesse de le scander d’un ton martial à six reprises : On Réquisitionne ! Enfin, pourquoi ne pas avoir eu recours à la médecine ambulatoire de ville afin d’éviter tout effet de saturation du système hospitalier ? De plus, pourquoi ne pas avoir concentré tous les efforts sur les plus exposés au virus dans la société, à savoir, les plus fragiles et les plus âgés, au lieu de saborder de manière suicidaire, voire méthodique le pays tout entier ?
Au passage, pour ceux qui savent lire, il est même inscrit en toutes lettres par les fabricants sur leurs boîtes de masques qu’ils ne sont pas des dispositifs médicaux et qu’ils ne protègent en rien contre les attaques virales ! Juridiquement, les fabricants de masques ne veulent certainement pas être tenus pour responsables en cas de contamination à de la Covid-19… C’est une garantie pour eux de ne pas être condamnés en justice dans le cas de dépôts de plainte. Dans ce monde, l’argent ne ment pas.
"Aucune étude ne prouve une quelconque utilité du masque pour prévenir les maladies respiratoires virales, que se soit en intérieur ou en extérieur. Point final !" – Le Pr. Denis Rancourt
Il existe au moins une douzaine d’études scientifiques qui ont démontré que les masques n’ont aucun intérêt pour arrêter la propagation des virus respiratoires. Une méta-analyse publiée par le CDC en mai 2020 n’a révélé "aucune réduction significative de la transmission de la grippe avec l’utilisation de masques faciaux.» Une autre étude portant sur plus de 8 000 sujets a révélé que les masques «ne semblaient pas être efficaces contre les infections respiratoires virales confirmées en laboratoire ni contre les infections respiratoires cliniques."
Pire que cela, portés plusieurs heures durant, les masques se salissent et deviennent de véritables boîtes de Pétri ambulantes, des bouillons de culture et des nids à bactéries, des cloaques microbiens, ils nous font respirer nos propres miasmes en circuit fermé et deviennent rapidement un terrain favorable à l’amplification des micro-organismes. De plus, ils appauvrissent la quantité d’oxygène que le sang distribue aux tissus et au cerveau, d’où le risque accru de développer des hypoxies avec de possibles graves séquelles physiologiques ultérieures. Les masques impliquent aussi un risque d’auto-contamination, car ils sont proches des muqueuses des yeux et de la bouche et sont bien souvent mal manipulés par des mains potentiellement contaminées. Ils sont la source de maux de tête et de difficultés respiratoires. Les masques n’ont jamais été conçus pour êtres portés dans de telles conditions
Mais, le plus extravagant au sujet de ces tests RT-PCR reste encore le fait que leur sensibilité a été considérablement amplifiée, ce qui les rend beaucoup plus facilement positifs. Ils se comportent comme des zooms qui à mesure qu’on les amplifient deviennent de plus en plus flous. En France, ils montent jusqu’à 50 cycles. Or, tous les spécialistes s’accordent à dire qu’à 60 cycles, absolument tout le monde aurait le coronavirus. Tous les tests RT-PCR effectués avec un seuil d’amplification CT de 33 cycles ou plus sont donc invalides et tous les soi-disant “cas positifs” confirmés et enregistrés dans les bases de données au cours des 14 derniers mois seraient par conséquent erronés. Ces tests sont aussi tellement sensibles qu’ils détectent des particules de virus inactives ! Selon de nombreux virologistes, il serait impossible de détecter du virus vivant au-delà de 33 cycles.
[...] Le Dr. Michael Yeadon, l’ancien vice-président et directeur scientifique de “Pfizer”, affirme à ce sujet : "Cette idée que l’on peut être malade, même si vous n’avez aucun symptôme et que vous pouvez être une menace virale respiratoire pour quelqu’un d’autre, même si vous n’avez aucun symptôme. Ça a aussi été inventé en 2020, c’est tout simplement inédit et ça défie le bon sens aussi." Donc pourquoi terroriser tout le monde sur cette base dans les médias, si ce n’est pour plonger l’ensemble de la population dans une forme de paranoïa aiguë, en postulant que tout le monde représenterait une menace et un danger potentiel pour sa santé…
Comme le rapporte le professeur et épidémiologiste Laurent Toubiana, qui a élaboré tout un rapport d’expertise pour les tribunaux relatif aux anomalies béantes de cette épidémie, la communication a été essentiellement axée sur un nombre cumulé de cas, ce qui n’a jamais été un facteur déterminant pour juger de la gravité et s’assurer du bon suivi d’une épidémie. D’autant plus si les cas dits “positifs” supposés, sont cumulés avec les cas bien réels dans le décompte de la maladie comme le précise bien le site du CDC. Il n’est pas représentatif, c’est un nombre qui ne fait qu’augmenter, même si entre-temps, bon nombre de contaminés par le virus sont sortis de la maladie. Il faudrait uniquement comptabiliser les nouveaux cas de malades, prendre en compte le taux d’incidence et la vitesse de propagation du virus. De même, lorsque nous sommes passés d’une année à l’autre, ils ont cumulé le nombre de malades des deux années au lieu de repartir à zéro en réinitialisant le décompte. Tout a donc été fait pour gonfler outrageusement les chiffres rapportés. De plus, il faut savoir que d’après les travaux de Laurent Toubiana, au pire de la crise, nous avons eu au maximum sur une semaine 140 malades pour 100 000 habitants en mars 2020 et depuis ce chiffre ne fait que baisser avec 31 malades en août 2021 pendant la 5ᵉ vague ! Il a précisé aussi que pour la grippe saisonnière (qui a d’ailleurs disparu) le pic pouvait atteindre 600 /100 000 habitants. Cherchez l’erreur !
Pour ce qui est de l’“Ivermectine”, elle serait en traitement précoce, efficace à 85 % pour diminuer le taux de mortalité de ce virus et qui plus est, il s’agit d’une molécule largement connue, sur laquelle on a tout le recul nécessaire. Ce médicament éliminerait le coronavirus à 99 %, comme cela a été confirmé lors d’études de micro-organismes. Que demander de plus? En Inde, où le gouvernement a décidé de passer outre les préconisations de “l’Organisation mondiale de la santé” de ne pas utiliser l’“Ivermectine”, les résultats contre le variant indien ont été immédiats, avec une chute spectaculaire du nombre de cas et de décès. Plus d’une vingtaine de pays utilisent l’“Ivermectine” avec grand succès.
Gardons aussi bien à l’esprit que les effroyables chiffres de la mortalité pronostiqués à l’origine par les instances officielles se sont révélés au final parfaitement faux, avec 500 000 morts brandis pour la première vague, qui se sont révélés à l’arrivée n’être que 35 000… Quant aux 400 000 morts annoncés pour la seconde vague, ils se sont soldés au final par 25. 000 ! Il est bien aisé de brandir de tels astronomiques chiffres pour sidérer les esprits afin de justifier des mesures sanitaires exceptionnelles et d’affirmer par la suite que les mesures prises ont été efficaces, car elles auraient évité l’hécatombe tant annoncée. Olivier Véran n’est pas en reste dans cette campagne de peur, avec sa formule choc : "le Covid-19 c’est, un malade toutes les deux secondes, une hospitalisation toutes les trente secondes, un mort toutes les 4 minutes." À en croire les miteux mensonges de ce misérable croque-mitaine de pacotille, si cela était vrai alors, un malade toutes les deux secondes, cela reviendrait à 1 296 000 malades par mois, tandis qu’une hospitalisation toutes les 30 secondes, cela reviendrait à 86 000 hospitalisations par mois et enfin un mort toutes les 4 minutes, cela reviendrait à 10 800 morts par mois ! Le mensonge éhonté est un mode de gouvernance pour ce gouvernement.
Manifestement, nous sommes face à un pouvoir terroriste, qui gouverne et impose ses mesures par la peur. Pourtant, une étude des chercheurs d’Oslo démontre qu’en réalité, il n’y a même pas eu en 2020 de surmortalité notable observable suite au Covid-19, ce qui contraste singulièrement vis-à-vis du discours de peur ambiant. Dans ces conditions, peut-on dès lors encore raisonnablement parler de pandémie ?
Comme dirait le chanteur Jacques Higelin : "Ceux qui ont peur de mourir ont souvent peur de vivre. Ils respirent prudemment en attendant la fin."
Quel est au juste le sens d’une vie coupée de tout ce qui en fait la valeur, de ce qui la rend si précieuse, unique et authentique, à savoir : les émotions, les rires et les sourires, l’insouciance, l’amour, le partage, les rencontres, l’évasion, les découvertes, les loisirs ?
Désormais, nous sommes plongés dans un programme de mort, conduits par ces élites psychopathes, soi-disant philanthropes dans une société ultra-contrôlée, artificielle, aseptisée et déshumanisée, de plus en plus privée d’amour et de relations humaines authentiques. En fait, ce dont ils ont le plus peur, c’est de l’amour, car il permet de créer un monde qui leur échappe et qu’ils ne peuvent contrôler.
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