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| La balade des ginkgos tourangeaux |
Reprise de la page 222 du livre Tours et ses arbres qu'on ne laisse pas grandir
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Le centre de Tours a de très beaux ginkgos biloba. Cette promenade permet de voir les plus remarquables, qu'ils soient publics ou privés. Je vous conseille de la faire autour du 15 novembre quand ces "arbres aux quarante écus" portent leur fascinants habits dorés.
Hormis ceux situés dans les parcs et jardins publics, ils sont privés. Ceux notés ° sont certainement centenaires, les autres n'en sont pas loin. Celui, privé et centenaire, à hauteur du 73 rue Victor Hugo n'est pas présent parce que régulièrement mis "la boule à zéro" et provoquant un détour.
1°, 2° : parc Mirabeau. 3° rue Traversière. 4, 5 : rue Jules Simon. 6 : jardin privé de la Préfecture (le point noir à côté est celui abattu au jardin public de la Préfecture, ici). 7° : rue Paul-Louis Courrier à hauteur du n°5. 8 : boulevard Béranger, à hauteur du n°53 au fond d'un passage privé. 9° : boulevard Béranger, au niveau du n° 68. 10°, 11°, 12°, 13° ; jardin des Prébendes d'Oé. 14° : rue Giraudeau à l'intersection de la rue François Arago. 15° : rue Ledru-Rollin à hauteur du n°7, 16° : rue Walvein à hauteur du n°58, 17°, 18°, 19°, 20° : jardin Botanique.
Cela signifie qu'il n'y a aucun ginkgo sur les voies publiques dans cet hyper-centre. Au delà, il y en a rue Raspail, au Sanitas, mais c'est une exception. On trouve quelques jeunes sujets sur des zones gazonnées, ils sont peu nombreux. Il n'y en a notamment pas à proximité de l'autoroute alors que ce sont des arbres très résistants à la pollution. Et puis il y a du "n'importe quoi" avec une dizaine de sujets récemment plantés au Sanitas dans un enclos de 3 mètres sur 4, comme des buissons !…
Vous voulez des photos ? Il y en a pas mal dans le livre (pages indiquées en page 222)... Il y en a aussi, sur cette page voisine, dédiée aux ginkgos publics à Tours (je la complèterai un jour...). Et en attendant (un jour...) des compléments sur cette page, voici un arbre privé et sa légende, en provenance de la page 222 du livre.
[7] Quand un arbre transfigure un lieu très minéral.
Imaginez à la place des arbrisseaux en pot.
Rue Paul-Louis Courrier 2011.
Alain Beyrand
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