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Puis il se tourne davantage vers la peinture, s'adonnant de façon sporadique à la BD (par exemple dans Vertigo Winter Edges n°2, 1998, 6 pages de Death, sur scénario de Neil Gaiman).
« Ce livre (Spasm) complète le travail d'Idyl et son tracé très épuré crée une impression très forte d'impressionnisme. (...) Une sorte de lyrisme et de féminité traversent son oeuvre. » (Dean Mutter en préface de l'album du Triton)
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« La bande dessinée posède en Jeff Jones son Mallarmé. (...) fasciné par la beauté du corps féminin, l'auteur en livre des représentations à la fois chastes et sensuelles. L'absence quasi-totale de décors crée une sensation d' quiétude et d'abstraction. Quant au texte, il jongle avec les paradoxes et les règles de la logique, achevant de donner à l'oeuvre les apparences d'un rêve éveillé. » (Thierry Groensteen, La BD depuis 1975, MA Editons)
« Le dessin ou plutôt l'art l'intéresse plus que le médium. Pour cela, sans doute, il n'est pas un très grand dessinateur de bande dssinées : il y a beaucoup de choses dans cet album (Futuropolis) et tout est graphiquement superbe, mais les histoires ou plutôt les fables, dans leur volonté de traiter des situations archétypales et problèmes philosophiques, parfois se ramassent. Ce n'est pas important : les filles sont belles, la nature alentour également, quelques animaux déambulent : le plaisir du regard est grand. » (Jean-Pierre Dionnet, Métal Hurlant n°8)
