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Derrière la légende de Jeanne d'Arc
  1. Annexe 3 : textes de référence

    Ce sont les textes de Maurice David-Darnac, Marcel Gay, Olivier Bouzy, André cherpillod, Thierry Dehayes qui sont en lien dans les chapitres 1 à 26 de la page principale. Cliquer sur les illustrations à bord épais permet de les agrandir.

    Chapitre 1 - Introduction : ma découverte de la vérité sur Jeanne d'Arc

    Gay, pages 9 et 10


    "Jeanne d'Arc", film de Georges Méliès, 1900.
    Cherchez les erreurs...



    Une fausse année de naissance, 1412,
    et une fausse année de décès, 1431...

    Cherpillod, page 285

    Chapitre 2 - De tous temps, il y a eu des doutes sur la légende officielle


    "Jeanne d'Arc la Pucelle d'Orléans", texte Agnès Richomme, dessin Robert Rigot, 1950, colorisé en 1994). Et tableau d'Eugène Thirion 1876, église ND de Chatou.
    Bouzy, page 120


    Cherpillod, page 293 à 296

    De nombreuses églises de France présentent ingénument le blason érotique de la Pucelle, dérivé de celui de la maison d'Orléans : il est le symbole revélateur d'une naissance cachée, dite "illégitime", contraire aux préceptes catholiques (chapitre 16). Ici à Fondettes, en Touraine.

    Chapitre 3 - Les bases de la présente étude

    Gay, pages 33 à 36
    Vers 1914, au royaume Uni, cette publicité pour le vote des femmes, dessinée par Hilda Dallas, représente la sainte patronne des suffragettes, Jeanne d'Arc (liens : 1 2). Déjà en France, en 1815, une gravure en couleurs (lien). Et vers 1902 estampe d'Epinal "Vive la liberté", par Henri de Sta (lien).


    2014, Paris (lien)



    Chapitre 4 - La certitude que Jeanne n'est pas morte sur le bûcher : elle réapparaît en 1436

    Dehayes, pages 196 et 197




    Chapitre 5 - Comment Wikipédia et les domrémistes déforment la réalité de la survivance de Jehanne

    Cherpillod, pages 523 et 524


    Bouzy, pages 194 à 198



    Détail du "Sacre du roi Charles VII à Reims",
    tapisserie vers 1640, château d'Espanel,
    sur livre "Jeanne d'Arc" de Henri Wallon,
    1876 (couv., titre).


    La première page de l'ouvrage
    de Pierre Caze en 1819.

    Dehayes, page 319


    (Le Gris - Noé - Glénat / Fayard 2014)

    Chapitre 6 - 1439, Charles VII, lui-même, reconnaît que Jeanne des Armoises est la Pucelle

    Bouzy, pages 175 à 177

    Caroline-Eugénie Segond-Weber jouant Jeanne d'Arc pour Nadar (1891), image d'entête de l'article "Jeanne d'Arc icône LGBT+", d'Anne-Laure Pineau, 2022.

     

    Cherpillod, pages 485 et 486

    Cherpillod, pages 472 et 473


    Dehayes, page 345


    Chapitre 7 - Que s'est-il donc passé sur le bûcher de Rouen en 1431 ?


    Affiche collaborationniste de 1944 appelant à résister, comme l'avait fait Jeanne, contre les Anglais. L'aviation alliée bombardait alors de nombreuses villes françaises, notamment Rouen, avec de très importants dégâts matériels et humains. Sur le même thème, lithographie de 1940 (lien).
    Darnac, page 307
    On a vu en fin de chapitre 13 à quel point Jeanne d'Arc a, peut-être, fait du tort à la France. Les partis politiques dits nationalistes ne font pas dans la nuance. A gauche le Front National en 2010 (lien). A droite, catholiques et royalistes en 2016 (lien).
    Bouzy, pages 152 à 155


     Affiche d'Eugène Grasset, 1899,
     avec l'actrice Sarah Bernhardt.

    Cherpillod, pages 412 à 414



    Jeanne d'Arc et la marche des fiertés 2017 à Paris (lien).


    Ci-dessous, carte postale de 1909, dessin de Antoon Van Welie (comment est-il possible d'ainsi joindre les deux mains ?) Jehanne est probablement morte dans son lit, mais c'était si dramatique, si christique et si romantique sur un bûcher...

    Chapitre 8 - Pourquoi n'a-t-on pas voulu tuer la Pucelle sur le bûcher ?

    Cherpillod, pages 440 et 441 (image Martin / Néjib / Pleyers)


    Chapitre 9 - Le procès aboutissant à la condamnation à mort était-il une mascarade ?



    Lithographie de Georges de Feure, 1897 (lien)



    Récupérée par tous les régimes, elle fut même, en 1942, un symbole de la collaboration avec les troupes d'occupation... + affiches de 1941 : 1 2.

    Estampe d'Epinal où Jeanne d'Arc est un soutien du général Boulanger, 1888 (lien.
    Dehayes, pages 382 à 385


    1960 - 1971

    "La Pucelle d'Orléans" est un poème héroï-comique en 21 chants de Voltaire, paru à Genève en 1752. Cette oeuvre provoqua un véritable scandale à la cour de France. Elle fut censurée et fit longtemps partie de l'Enfer de la Bibliothèque nationale de France. Illustrations de ce livre : 1 2 3 4 5 6. Autres illustrations par Moreau le Jeune : 1 2 3 4 5 6 7 8 9 10. (lien). Aquarelles de Claude-Louis Desrais pour une édition londonienne, 1773 : 1 2 3 4 5 6 7 8 9 10 11 (lien). Edition de 1780 : 1 2 3 (lien). 1982, éditions Curiosa : 1 2 3 4 5 (lien). Et aquarelle de Gabriel de Saint-Aubin 1778 (lien). Autre lien. Dessin de Cham 1867.

    A gauche, légende : "Sainte Jeanne d'Arc, fêtée d'un coeur unanime par tous les bons Français et par les Alliés, triomphe de tous ses insulteurs, et surtout de Voltaire, qui les incarne tous. Puisse-t-elle n'avoir plus que des amis !"
    A droite, légende : "La revanche de Jeanne d'Arc sur son insulteur, le philosophe incrédule du XVIIIème siècle, et sur les imitateurs de Voltaire. (dessin d'Achille Lemot)

    Darnac, pages 260 à 264


    Jeanne d'Arc faisant bénir son étendard dans l'église Saint-Sauveur à Blois. Le tableau peint en 1904 par Henri Michel est exposé au château dans la chapelle Saint-Calais lien). L'armure et l'étendard de Jeanne ont été confectionnés à Tours (liens : 1 2).


    "Jeanne d'Arc prisonnière à Rouen", tableau de Pierre Révoil, 1819 (lien).

    Ci-dessus, la Pucelle est libérée de ses chaînes, alors qu'une autre femme la remplace pour aller sur le bûcher. Tome 1, "Prelati" de la série "Les démons d'Armoises", textes Jean-Luc Clerjeaud et Jean-Charles Gaudin, dessin Stéphane Collignon, éditions Soleil 2012.


    Vitrail de Francis Chigot, 1913
    (Eglise Saint Jean-Paul II de Limoges)


    Darnac, pages 295 à 297
    Jeanne d'Arc
    en prière
    Jean Baptiste
    Carpeaux
    1875


    Jeanne d'arc, devant Charles VII, répond aux prélats qui l'interrogent. Gillot Saint-Evre, 1832 (Le Louvre, Paris) (lien)



    Darnac, pages 233 à 237 >


    La garde écossaise de Jeanne, par
    John Duncan 1896. Aussi planche de Rigot.



    L'hommage de Mark Twain à Jeanne d'Arc,
    en 1896 (liens : 1 2) (couverture 1919)



    Ingrid Bergman (1948) et Jean Seberg (1957) dans le rôle de Jeanne d'Arc (page de films ; peinture de Arnaud Feuga, liens : 1 2).

    Darnac, pages 244 et 245


    (Mora - De la Fuente, Larousse 1977)

    Chapitre 10 - La naissance de Jeanne d'Arc, à Paris le 10 novembre 1407

    Gay, pages 66 à 71



    Isabeau de Bavière par Guyot de Dammartin. Statue en pied du Palais de Justice de Poitiers.


    Texte Makoto Torakage, dessin : Makoto Torakage, Nobi Nobi 2021.
    Page "Jeanne d’Arc une héroïne au service des mangas".


    Chapitre 11 - Les d'Arc, parents adoptifs de la Pucelle à Domrémy

    Gay, pages 92 à 94




    Domrémy, statue de Mercié, 1895, titrée "Jeanne d’Arc relevant l’épée de la France" (lien). Ici, elle est renommée "Yolande d'Aragon guidant la Pucelle de France"...


    Bouzy, page 106

    Vitrail dans l'église de Domrémy la Pucelle.

    Chapitre 12 - Jeanne à Domrémy, une fillette puis adolescente reliée à Paris

    Darnac, pages 72 à 75


    Bande dessinée "Le treizième apôtre", texte Frédéric Fagot / Eric Mestrallet - dessin Lorenzo d'Esme 1996.


    La cérémonie de canonisation en 1920. Affiche de 1928. Quand on sait que Jeanne était soeur illégitime du roi et qu'elle n'a pas été brûlée...

    Bouzy, pages 82 à 85 (image du journal "Le Pélerin", 1921)



    Cherpillod, pages 164 à 166



    Toutes les images de médailles proviennent de la page
    "Jeanne d'Arc Médailles"

    Autour de Domrémy, les territoires sont entremêlés...

                                           Cherpillod, page 244


    Gay, pages 79 et 80                                                            

    En février 1429 à Nancy (cf. Annexe 1), il est relaté que Jeanne courut une lance devant le Duc de Lorraine, ce qui pour le Littré signifie que Jeanne participa à ce que nous nommons aujourd'hui un tournoi ! Ce qui interpelle à nouveau ! En effet, les joutes sont réservées aux seuls chevaliers, ce qui implique que Jeanne possède d'ores et déjà ce statut… réservé exclusivement à la noblesse ! Ce qui tord le cou à la légende de l'anoblissement de Jeanne et de sa famille...

    De plus, les combattants portent l'armure ! Où Jeanne a-t-elle pu trouver ce jour-là un équipement adapté à sa morphologie ? une armure peut éventuellement être interchangeable entre deux hommes de même stature, mais une femme présente trop de différences physiques (taille générale, poitrine, bassin...) pour pouvoir endosser l'armure d'un homme. Vraisemblablement, cet équipement existait déjà bien avant ce voyage, et Jeanne en avait l'habitude : il parait inconcevable de faire trois pas et de monter à cheval sanglé dans une armure (qui limite à la fois les mouvements et le champ de vision) de but en blanc, sans aucun entrainement !
    (extrait de page du site jeannedomremy.fr)





    Ci-dessous, Henri VI sous les oripaux de ses deux royaumes réunis, l'Angleterre et la France. Charles VII était aussi roi de France. Deux rois pour un royaume : la Pucelle a imposé son choix... (enluminure du manuscrit de Jean de Wavrin, "Chroniques d'Angleterre", vers 1480)


    Chapitre 13 - Jeanne et les services secrets royaux : "l'opération Bergère"

    Chapitre 14 - Yolande d'Aragon est-elle le "Deus ex machina" de l'opération Bergère ?

    Bouzy, pages 100 et 101

    Chapitre 15 - La "mission" en cinq points de la Pucelle : deux succès, trois échecs


    Jeanne d'Arc, icône patriotique, en France et même en Grande Bretagne (lien)



    Chapitre 16 - La Pucelle et la maison princière d'Orléans

    Cherpillod, pages 476 à 478




    ("Jeanne des Armoises", Jhen tome 19, Jacque Martin - Jean Pleyers - Néjib (Casterman 2021)


    Chapitre 17 - Pourquoi Jehanne a-t-elle choisi Robert des Armoises pour époux ?

    Cherpillod, pages 458 à 462



    Jeanne d'Arc au sacre du roi Charles VII, tableau de Jean-Auguste-Dominique Ingres1854 (musée du Louvre). On note la présence d'une (discrète) auréole, longtemps avant la canonisation. Dimension 2,34 x 1,63 m (lien Wikipédia).


    Metz : emplacement cadastral de l'Hôtel des Armoises
    (Ancien cadastre allemand) (page de jeannedomremy.fr)
    Gay, page XI
    Ci-dessous, l'immeuble qui remplace l'hôtel des Armoises.
    Au fronton de la maison que le couple des Armoises possédait à Metz, et qui ne fut démolie qu'en 1854, on pouvait voir les armes de la Pucelle ( elles furent martelées à la Révolution ) et actuellement, dans la salle principale du château de Jaulny ( qui fut autrefois la résidence d'été de la famille) se trouvent les blasons accolés de la Pucelle et du seigneur des Armoises.

    Chapitre 18 - Jeanne, depuis son sauvetage à Rouen en 1431 jusqu'à son décès vers 1449

    Gay, pages 258 à 261



    Darnac, pages 391 à 393


    L'église et le cimetière de Pulligny


    Bouzy, pages 185 à 187



    "1431 - L'homme qui trahit Jeanne d'Arc", tome 2 de "L'homme de l'année", texte Eric Corbeyran, dessin Horne, Delcourt 2013

    A gauche, vitrail de l'église St Hilaire de Rolleville, en Normandie. Un ange donne une arme à Jeanne pour qu'elle tue... Au Vème siècle, consciente de son commandement "Tu ne tueras pas", l'Eglise avait hésité à sanctifier l'ancien soldat Martin de Tours. Au XXème siècle, cela ne posa aucun problème...

    A droite, vitraux des églises St Bernadette de Gagny et ND de Bourg en Bresse. Qui a martyrisé la pieuse Jeanne d'Arc ? L'église catholique. Pourquoi s'en vante-t-elle ? Heureusement, ce n'est pas vrai. Alors qu'attend l'actuel pape pour réhabiliter son prédécesseur Eugène IV et proclamer qu'il n'a pas tué la Pucelle, en soutenant l'évêque Cauchon ?

    Chapitre 19 - Ce qui reste du passage de Jehanne à Jaulny et à Pulligny






    C'est la statue de l'église de Fondettes et du monument aux morts d'Altviller... (lien)
    Dehayes, pages 307 à 311


    Gay, pages 262 et 263

    Jean Dunois, bâtard d'Orléans,
    manufacture de Sèvres 1843,
    hauteur 51 cm, Le Louvre, Paris (lien).

    Chapitre 20 - La découverte du squelette de Jeanne d'Arc à Cléry-Saint-André

    Chapitre 21 - La dissimulation du squelette de Jeanne d'Arc


    (Mora - De la Fuente, Larousse 1977)

    Chapitre 22 - Le livre de Poitiers recherché par Jeanne, retrouvé en 1934 puis disparu à nouveau

    Cherpillod, pages 318 à 320

    Chapitre 23 - La sexualité de la Pucelle

    Cherpillod, page 189
    Chapitre 24 - Un portrait, un portrait robot et des possibles portraits de Jeanne

    Cherpillod, page 193
    Ci-dessous : John Everett Millais 1865, vitrail de la cathédrale Ste Croix d'Orléans, Albert Lynch 1903.




    (Mora - De la Fuente, Larousse 1977)

    Chapitre 25 - Conclusion sur la personne de Jeanne : quelle fulgurance, quel caractère !...

    Chapitre 26 - Annexe 1 : autres épisodes de la vie et de la légende de la Pucelle de France






    Dehayes, pages 237 à 241

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    Alain Beyrand - Dossier réalisé, pour l'essentiel, du 13 au 29 juin 2023 - Sous licence Creative Commons by-sa.