Annexe 2 |
Psychopathologie du totalitarisme
Désobéir est vital. Faire partie des hérétiques au sens propre, de ceux qui font le choix de ne pas se plier à la croyance religieuse de l’idéologie totalitaire. Il y a autant de désobéissances que de spontanéités individuelles. [...] Ne pas se soumettre au dogme, l’interroger et conserver son esprit critique, créer en-dehors de ce qui est permis, emprunter les sentiers de traverse, mais aussi archiver, conserver cet ancien que le pouvoir totalitaire désire détruire, informer, tout ceci fait partie de la résistance. Le totalitarisme craint le primat de la subjectivité, la texture unique du témoin qui transcrit ses émotions, sa sensibilité, sa vie psychique et son humanité ; il redoute cette liberté de l’esprit contre la rigueur de la lettre, l’ironie ou « le trait d’esprit », le rire contagieux qui le détrône de sa toute-puissance. Penser est dangereux, mais « ne pas penser est encore plus dangereux. » |
Appel du 22 juillet 2021 : Il est temps d'agir Nous ne pouvons plus nous indigner à bon compte derrière nos écrans, nous lamenter derrière nos emails. Nous ne pouvons plus éternellement compter sur quelques-uns, aussi charismatiques soient-ils. Sachons lire entre les lignes. La chute symbolique de l’IHU est consommée. Nous ne pouvons plus regarder, passifs, quelques courageux ou charismatiques, Gérard Maudrux, Louis Fouché, Alexandra Henrion Caude, Luc Montagnier, Pascal Sacré, La brutalité de l’ordre traduit 10 des plus grands résistants devant sa juridiction. Nous sommes à un point d’inflexion. Il est temps. Il est grand temps. Nous sommes bel et bien en dictature. C’est le grand temps des héros. Une puissante vague de fond se lève. Nous devons l’accompagner. Des milliers d’individus, de citoyens vont se lever pour dire NON. Ce Non est inarrêtable, invincible. Grain de sable vivant et vibrant dans l’engrenage de la froide mécanique totalitaire. Notre responsabilité est lourde. Notre courage immense. Notre espoir ridicule. Depuis quelques jours, les « bruits de bottes »... Des centaines d’inscriptions de médecins et de soignants pleuvent. Plus encore depuis hier soir. La loi va imposer une thérapie génique expérimentale aux soignants puis à tous. Aucune dictature dans le monde n’a réussi une telle transgression. Pour les médecins et les soignants, que faut il faire ? Renoncer à sa vocation, à sa carrière, à sa vie ? Ou se soumettre ? Le temps n’est plus à se cacher des ordres, ils vont venir à vous. Le choix est irrémédiable MAIS temporaire. Car les déferlements totalitaires n’ont qu’un temps. Et ce temps est venu. Il nous faut faire un choix. En notre âme et conscience. Et tenir ! Ces annonces ne sont qu’un début. Après les soignants, ce seront les citoyens, puis nos enfants, les femmes enceintes et les bébés. Il est temps d’agir comme vous n’avez jamais agi dans votre vie. Il est temps de s’engager comme jamais vous ne vous êtes engagés dans votre vie. Plus rien d’autre n’a d’importance. Coordonnez les réseaux. Inventez la survie. Rêvez des passages imprévus à travers les bourrasques. C’est au fond de l’impasse seulement que se dessine une sortie vers le ciel. C’est dans le désastre que le Vivant se réveille. Sortez du numérique. Actionnez la réalité. Mettez-vous en lien. Mettez-vous en action. Vous pouvez tout, et bien plus ! Collectif Médecin ReinfoCovid et Louis Fouché (source : https://mediazone.zonefr.com) |
Covid-19 : on vous résume la polémique autour de McKinsey, le cabinet qui conseille le gouvernement sur la stratégie vaccinale Qui a vraiment eu la main sur la gestion de la campagne de vaccination contre le Covid-19 en France ? Certains domaines de la stratégie vaccinale mise en place par le gouvernement ont été confiés au cabinet de conseil américain McKinsey, ainsi qu'à plusieurs autres cabinets (Accenture, Citwell et JLL), selon les révélations faites par Le Canard Enchaîné et le site Politico (en anglais) début janvier. Ces prestations extérieures s'éleveraient à 2 millions d'euros par mois pour McKinsey, selon Le Point, et 1,2 million d'euros pour Accenture, d'après Mediapart. D'autres cabinets sont également sollicités, comme JLL Consulting, Roland Berger, ou Deloitte. On vous résume cette polémique et le rôle joué par ce très mystérieux cabinet Mckinsey qui murmurerait à l'oreille du président Emmanuel Macron. Une "firme" très secrète et très influente Le cabinet de conseil américain McKinsey, surnommé "la Firme", a été créé par James McKinsey dans les années 1920. Sa clientèle rassemble aujourd'hui tout le gotha : "des PDG, des ministres, des chefs d'Etat", énumère Le Monde (article abonnés), qui a publié une longue enquête sur "la Firme", vendredi 5 février. "Quand on fait appel à eux, il y a une part de snobisme, on achète aussi une réputation" [...] Des liens étroits avec Emmanuel Macron La première rencontre entre Emmanuel Macron et McKinsey remonte à 2007. Le jeune énarque de 29 ans est alors inspecteur des finances et rapporteur général adjoint de la commission Attali, rappelle Le Monde. Emmanuel Macron "impressionne" l'assistance – composée de grands patrons, d'économistes ou d'intellectuels – durant les travaux de cette commission chargée de formuler des propositions pour "libérer" la croissance française, à la demande du président Nicolas Sarkozy. Parmi eux, se trouvent Eric Labaye et Pierre Nanterme, respectivement patrons de McKinsey France et d'Accenture, détaille le quotidien. Emmanuel Macron fait aussi la rencontre de Karim Tadjeddine, alors chef des consultants de McKinsey. Avec ce dernier, Emmanuel Macron – qui a entre-temps intégré la banque d'affaires Rothschild & Cie - intègre en 2010 le conseil d'administration du think tank En temps réel. Ils y rencontrent Thierry Cazenave, avec lequel ils collaboreront quelques années plus tard sur son livre L'Etat en mode start-up (Eyrolles, 2016). Aujourd'hui, Emmanuel Macron est chef de l'Etat. Il a créé après son élection, en novembre 2017, une direction interministérielle à la transformation publique (DITP) et placé à sa tête un certain Thierry Cazenave, qui supervise toutes les missions commandées aux cabinets de conseil privés, comme McKinsey. Quant à Karim Tadjeddine, il est justement chargé de ces missions pour l'Etat au sein du cabinet américain. Un "entre-soi qui dérange", écrit Le Monde. Selon le journal, la DITP, qui dispose d'un budget global de 100 millions d'euros sur le quinquennat, a pour l'instant dépensé 30,2 millions pour les seules prestations de consultants privés. |
Lettre à Charlie à propos de sa fascination vaccinale et de ses positions réductionnistes vis à vis des opposants au sésame sanitaire Bonjour Charlie, je suis abonné depuis l’attentat meurtrier de 2015, par solidarité. J’étais avant un lecteur assidu, et je considère les dessinateurs, auteurs et membres de l’équipe assassinés comme des amis : je ne les connaissais pas de visu, mais leurs écrits, dessins et idées m’imprégnaient et occupaient une partie de mon monde mental, comme le produit l’interaction d’avec des amis et le processus nommé innutrition par Montaigne. Ce préambule pour souligner le fait que ce qui suit, en fait une critique de vos positions pro-vaccinalistes, provient d’un ami bien intentionné et non pas d’un obscurantiste au front de taureau. Je suis professeur à l’Université de Bordeaux, où j’enseigne la biochimie, la microbiologie et la toxicologie environnementale. Mes recherches portent sur les effets toxiques et les mécanismes de défense biochimiques et génétiques des organismes exposés aux polluants dans leur environnement. Les travaux publiés par mes collaborateurs et moi-même apparaissent sur le site ouaibe du National Center for Biotechnology Information (pubmed.ncbi.nlm.nih.gov), dès lors que vous tapez mon nom. Afin d’être le plus honnête possible, je dois te dire que je suis également membre du conseil scientifique du CRIIGEN (Comité de Recherche et d’Information Indépendantes sur le génie GÉNétique - criigen.org). Par réciprocité, il serait de bon aloi que les médecins apparaissant dans les médias voulussent bien révéler leurs conflits d’intérêt, et surtout que les journalistes osassent leur poser la question. Quant à moi, et depuis que je suis universitaire, je n’ai jamais reçu de gratifications, prébendes, émoluments ou primes d’un quelconque industriel ou organisme privé ; mon association au CRIIGEN est du pur bénévolat. Et non, nous ne sommes pas anti-vaccinalistes : écoutez par exemple mon ami Christian Vélot, président du conseil scientifique du CRIIGEN et maître de conférences en génétique à l’Université de Paris-Sud, lors de son entretien sur France Soira ou sa conférence censurée par Youtubeb. Nous sommes explicites quant à notre volonté de voir advenir un véritable vaccin, efficace, sûr, et protégeant sur la durée. [...] Mais il n’y a qu’une vérité officielle : la vaccination comme unique solution ! Antonio Fischetti avait prétendu et soutenu cette assertion devenue une antienne gouvernementale dans un article publié dans Charlie Hebdo (n° 1481 du 9 décembre 2020 : « Contre ce virus qui nous empoisonne tous, il n’y a pas trente- six solutions. Mais trois, pas plus : confinement, immunité collective ou vaccin. On connaît le désastreux impact économique et sanitaire du confinement .... Quant à l’immunité collective, elle se solderait par des centaines des milliers de morts. Reste, donc, le vaccin »). [...] Un autre traitement disponible à bas coût et efficace contre le SARS-CoV-2 est l’ivermectine. De nombreux essais cliniques démontrent son efficacité 9. L’ivermectine empêche la pénétration de la protéine N (celle composant la nucléocapside virale) dans le noyau des cellules infectées, une étape indispensable à la multiplication virale ; une autre action de l’ivermectine est de s’opposer à la production des cytokines TNFα et IL-6, lesquelles sont responsables de la « tempête de cytokines » qui mettent la vie des patients atteints du covid en danger10. Le ministre Véran veut pousser à la vaccination les enfants dès l’âge de 12 ans : c’est non seulement absurde mais criminel ! Le risque de mort par vaccination est supérieur à celui du covid chez les jeunes de moins de 30 ans. Pour le calculer il m’a fallu croiser les données de deux organismes français : l’INSEE pour la structure de la population française, et l’INED pour la mortalité due au covid. [...] Voilà ce que j’avais à te dire Charlie. Je suis navré que tu sombres dans la panique et qu’un virus t’inspire des craintes encore plus grandes que les bigots islamistes. Et puis qu’est devenu ton esprit critique, ta volonté de réfléchir par toi-même et de ne pas être sous l’influence de l’opinion dominante ? Tu fais tiennes les mesures gouvernementales y compris ce stupide et injuste passe sanitaire, et joue, tout comme les médias dominants, le rôle de courroie de transmission des mesures gouvernementales (tu n’es tout de même pas La Pravda !) |
Dossier sur la mise en examen d'Agnès Buzyn "Il était aux portes de la mort." Maître Bertrand Mertz résume l’état de gravité de son client, un habitant de Vitry-sur-Orne, atteint par le Covid-19, dès mars 2020, lequel veut savoir ce qui est advenu précisément. Ce monsieur a donc décidé de porter plainte. Contre le CHR Metz-Thionville tout d’abord, parce qu’il dénonce une défaillance dans sa prise en charge. « Il avait 41° de fièvre, des vomissements, des diarrhées » détaille son avocat, "il a été refusé aux urgences, le centre 15 n’a pas voulu le prendre en charge." Finalement hospitalisé après six jours… dans un état épouvantable, il restera quinze jours dans le coma et garde de cette période des séquelles physiques comme psychologiques. "Dans un pays comme le nôtre, il est absolument inacceptable qu’on ne prenne pas en charge un patient aussi gravement malade" s’insurge Bertrand Mertz. Une seconde procédure engagée auprès de la CJR vise aussi l’ancienne ministre de la Santé et son successeur quant à la gestion de la crise sanitaire par le gouvernement. « Il appartient aux pouvoirs publics et spécifiquement au ministère de la Santé de prendre les mesures face à un risque aussi grave et de toute évidence, on voit bien qu’on est face à un grave dysfonctionnement. » Une instruction est ouverte par la présidente de la chambre criminelle de la Cour de cassation. Le plaignant mosellan sera d’ailleurs très prochainement auditionné par la commission d’instruction annonce son défenseur. Ce n’est pas la seule plainte de ce type déposée depuis le début de la crise sanitaire par des patients ou des soignants. "Il est normal que, dans une démocratie moderne, les ministres puissent rendre compte de leur action ou de leur inaction" indique Bertrand Mertz qui tient à préciser qu’il ne s’agit pas là d’une démarche d’indemnisation. "Il n’y a pas de dommages et intérêts à obtenir devant la Cour de justice de la République. La principale préoccupation de mon client est de connaître la vérité." |
Déclaration des médecins Sommet mondial du Covid - Rome, Italie ATTENDU QU’il est de notre plus grande responsabilité et de notre plus grand devoir de maintenir et de restaurer la dignité, l’intégrité, l’art et la science de la médecine ; ATTENDU QUE notre capacité à prendre soin de nos patients fait l’objet d’une attaque sans précédent ; ATTENDU QUE les décideurs publics ont choisi d’imposer une stratégie de traitement “taille unique”, entraînant des maladies et des décès inutiles, plutôt que de défendre les concepts fondamentaux de l’approche individualisée et personnalisée des soins aux patients, qui s’est avérée sûre et plus efficace ; ATTENDU QUE les médecins et les autres fournisseurs de soins de santé qui travaillent en première ligne, en utilisant leurs connaissances en épidémiologie, en pathophysiologie et en pharmacologie, sont souvent les premiers à identifier de nouveaux traitements susceptibles de sauver des vies ; CONSIDÉRANT que les médecins sont de plus en plus découragés de s’engager dans un discours professionnel ouvert et d’échanger des idées sur les maladies nouvelles et émergentes, ce qui met en danger non seulement l’essence de la profession médicale, mais surtout, plus tragiquement, la vie de nos patients ; CONSIDÉRANT que des milliers de médecins sont empêchés de fournir un traitement à leurs patients, en raison des barrières érigées par les pharmacies, les hôpitaux et les agences de santé publique, ce qui rend la grande majorité des prestataires de soins de santé impuissants à protéger leurs patients face à la maladie. Les médecins conseillent maintenant à leurs patients de simplement rentrer chez eux (permettant ainsi au virus de se répliquer) et de revenir lorsque leur maladie s’aggrave, ce qui entraîne des centaines de milliers de décès inutiles de patients, en raison de l’absence de traitement ; CONSIDÉRANT que ceci n’est pas de la médecine. Ce ne sont pas des soins. Ces politiques peuvent en fait constituer des crimes contre l’humanité. PAR CONSÉQUENT, IL EST RÉSOLU, que la relation médecin-patient doit être restaurée. Le cœur même de la médecine est cette relation, qui permet aux médecins de mieux comprendre leurs patients et leurs maladies, de formuler des traitements qui donnent les meilleures chances de succès, tandis que le patient est un participant actif à ses soins. RÉSOLU, que l’intrusion politique dans la pratique de la médecine et la relation médecin/patient doit cesser. Les médecins, et tous les prestataires de soins de santé, doivent être libres de pratiquer l’art et la science de la médecine sans crainte de représailles, de censure, de calomnie ou de mesures disciplinaires, y compris la perte éventuelle de l’autorisation d’exercer et des privilèges hospitaliers, la perte des contrats d’assurance et l’ingérence des entités et organisations gouvernementales – qui nous empêchent encore davantage de soigner les patients dans le besoin. Plus que jamais, le droit et la capacité d’échanger des résultats scientifiques objectifs, qui font progresser notre compréhension des maladies, doivent être protégés. IL EST RÉSOLU que les médecins doivent défendre leur droit de prescrire des traitements, en respectant le principe “D’ABORD, NE PAS NUIRE”. Les médecins ne doivent pas être empêchés de prescrire des traitements sûrs et efficaces. Ces restrictions continuent de provoquer des maladies et des décès inutiles. Les droits des patients, après avoir été pleinement informés des risques et des avantages de chaque option, doivent être rétablis pour recevoir ces traitements. IL EST RÉSOLU que nous invitons les médecins du monde entier et tous les prestataires de soins de santé à nous rejoindre dans cette noble cause, alors que nous nous efforçons de restaurer la confiance, l’intégrité et le professionnalisme dans la pratique de la médecine. RÉSOLU, nous invitons les scientifiques du monde entier, qui sont compétents en matière de recherche biomédicale et qui respectent les normes éthiques et morales les plus élevées, à insister sur leur capacité à mener et à publier des recherches objectives et empiriques sans craindre de représailles sur leur carrière, leur réputation et leurs moyens de subsistance. RÉSOLU, que nous invitons les patients, qui croient en l’importance de la relation médecin- patient et en la possibilité de participer activement à leurs soins, à exiger l’accès à des soins médicaux fondés sur la science. EN FOI DE QUOI, le soussigné a signé la présente déclaration à la date indiquée en premier lieu. |
Lettre ouverte aux présidents des conseils de l’Ordre et à tous mes confrères cliniciens Je suis médecin, retraité depuis 5 ans et fort de 45 ans d’une expérience clinique particulièrement éclectique : médecine hospitalo-universitaire, médecine interne, médecine générale (en Belgique) et cardiologie (en France). Depuis ma retraite, je ne n’avais suivi que de loin l’épidémie de Covid-19 jusqu’à ce que, il y a quelques mois, suivant les conseils des « autorités » politiques et sanitaires, je reçoive, la seconde injection du Vaccin Astra-Zeneca. Or, depuis lors, je souffre de douleurs musculaires diffuses et de transpirations à l’effort qui me donnent le sentiment d’avoir vieilli de 10 ans. Ces effets secondaires invalidants ainsi que l’émergence évidente, dans mon entourage proche, d’autres effets secondaires nullement bénins et d’une défiance croissante vis-à-vis des contraintes imposées par ces « autorités » m’ont poussé à tenter d’éclairer au mieux ma lanterne. Et si j’écris cette lettre, c’est parce que je sors atterré de ce que j’ai découvert. [...] La FDA et l’ANSM ont accordé aux industriels du médicament l’autorisation de la procédure d’urgence (EUA) malgré le non-respect d’une de ses conditions impératives, l’inexistence d’alternatives thérapeutiques. Ceci leur a permis de raccourcir la durée des expérimentations de 10 ans à 11 mois. De plus, les instances responsables de la vérification des expérimentations (FDA, ANSM) — entièrement pilotées par ces industriels — n’ont pas fait correctement leur travail de lecture critique des statistiques des résultats publiées. Une lecture plus attentive (dénoncée par Fleming et d’autres experts3 leur aurait montré une réalité qu’aujourd’hui même les « autorités » acceptent, à savoir que le vaccin ne protège ni du risque de réinfection, ni du risque de contagion, ni (bien évidemment) d’une infection par les inévitables variants. 2 — Efficacité du vaccin : Une lecture critique des essais cliniques réalisés avant mise sur le marché montre que l’efficacité (voisinant les 90 % selon les industriels) a en fait été évaluée sur base d’un paramètre — le « risque relatif » — qui n’a pas de signification clinique alors qu’exprimé sur base du paramètre cliniquement pertinent généralement utilisé (le « risque absolu »), cette efficacité voisine plutôt les 1 %. La « manipulation » des chiffres (et de l’incompétence des citoyens et des médecins en matière de statistique) est flagrante, mais inacceptable. De plus, une lecture attentive démontre, à partir des résultats présentés par les firmes que, par exemple, l’efficacité des vaccins n’est pas statistiquement significative chez les sujets de plus de 70 ans, pourtant les premiers bénéficiaires du vaccin. Si j’avais su cela, jamais je ne me serais fait vacciner. Quant aux études faites après mise sur le marché, on trouve — quand on les cherche — des preuves accablantes de nombreux cas d’infections et d’hospitalisations pour la Covid-19 chez des patients dûment vaccinés. [...] Tous les gouvernements impliqués dans la mise au point de cette chimère (les USA, la Chine, mais aussi la France cofondatrice de l’institut de Wuhan) se sont empressés de nous faire passer ce virus pour une zoonose (le fameux pangolin) ou le résultat de mutations (naturelles). Mais une chimère n’est pas un mutant (naturel) et j’ai le sentiment que tout est fait « quelque part » pour que cette vérité embarrassante — mais cruciale dans le procès de la thèse du complotisme — soit tue. 5 — De la vaccination obligatoire et généralisée. Nous devons prendre conscience, nous médecins cliniciens, que les vaccins actuels contre ce « monstre » de la biotechnologie forcent nos propres cellules à synthétiser en millions d’exemplaires cette protéine chimérique imaginée et créée de toutes pièces par des scientifiques irresponsables. Le simple principe de précaution devrait nous pousser à redoubler de vigilance vis-à-vis de ce vaccin doublement atypique (technologie à ARN messager/nanoparticules lipidiques et antigène spike artificiel), mais les médecins généralistes, témoins les plus concernés par la santé individuelle de leurs patients et source la plus fiable des éventuels effets secondaires ont été écartés des centres de décision gérés par les autorités politiques, sanitaires et scientifiques. Avec un an et demi de recul, nous disposons aujourd’hui de statistiques de mortalité, de létalité et du rapport bénéfice/risque de différents vaccins commercialisés. Nous avons le devoir de les analyser objectivement et, personnellement, ils me glacent d’effroi. |
La puce dans le vaccin Ce jeudi 14 octobre 2021, la radio d’État (France Info) nous informe que le gouvernement prolonge l’obligation de "passe sanitaire" jusqu’à la fin juillet 2022, après les élections présidentielles. La journaliste politique Nathalie Saint-Cric assure qu’il n’y a "pas de problème démocratique, car on s’y est habitués". L’évidence nous saute à l’esprit : la puce dans le vaccin, nous y voilà. "Au pré avec sa mère, le poulain de trois jours tangue sur ses pattes. La seringue pénètre sous la peau du cou. Injection rapide et indolore. Le vétérinaire vérifie son lecteur portable : le numéro d'identification X0723A s'inscrit à l'écran, la puce est opérationnelle. Grâce à l'interface sans fil Bluetooth, le lecteur transmet directement à l'ordinateur les données concernant X0723A : date de naissance, sexe, numéro des géniteurs, vaccinations, allaitement, etc. Il sera désormais simple, en consultant les bases de données, d'assurer un suivi sanitaire rigoureux, de vérifier qui est le propriétaire, et, en le scannant avec un lecteur portable, d'identifier à tout moment X0723A. L'animal est entré dans le système, il a le droit d'exister." En France depuis le mois d’août 2021, c’est pareil pour les humains : une injection rapide et indolore, répétée à quelques semaines d’intervalle. Vérification sur votre lecteur portable : votre QR code est opérationnel. Grâce aux applis téléchargées par les tenanciers de bistrots, de restaurants, de lieux culturels et sportifs, de transports publics, votre smartphone transmet directement les données vous concernant. « Si la personne a un test ou une attestation de convalescence du Covid ou si elle vaccinée, ça apparaît en vert, et on a le nom et l'âge de la personne8 », explique Laurent Duc, président de la branche hôtellerie de l'Union des métiers et des industries de l’hôtellerie. Vous êtes entré dans le système, vous avez le droit d’exister. Ce qu’on fait aux animaux, on le fait aux humains. Avec leur vaccins puceurs, nos auditeurs paranoïaques nous proposaient une métaphore et une hyperbole. Parfois les fous ont obscurément raison. Le QR code des vaccinés n’est pas encore sous-cutané. Mais bien des gérants de bars et leurs clients trouveraient plus pratique d’éviter de sortir le smartphone pour boire un coup. Une puce bien placée ne ferait pas une grande différence, maintenant qu’on est habitués à être scannés comme des colis. Comme dit ce client en terrasse interrogé par la radio : "Au début c'est un peu gênant, mais on finit par s'habituer à tout". Rendez-vous à la prochaine crise. Cela nous coûte de le dire, mais en ces temps d’emballement techno-totalitaire, il n’est pas exclu que les paranoïaques soient juste en avance. |
L’idéologie sanitaire est un prétexte à une gouvernance totalitaire Il y a une intention de nuire, totalement assumée dans les discours d’ailleurs, dans les projets. Il y a un très fort déficit d’empathie de la part de cette micro-caste de très, très riches par rapport au reste de l’humanité. C’est à cela qu’on caractérise le harcèlement, d’ailleurs. Une partie des citoyens doit se sacrifier pour le bien commun. C’est une logique totalitaire. On se rend compte que ceux dont on exige le sacrifice sont à peu près toujours les mêmes. [...] Pourquoi totalitaire, parce qu’il vise la domination totale des individus, la rupture des classes, de l’appartenance sociale, des familles, jusqu’à l’intrusion dans l’intimité de la personne. Pour que le projet totalitaire fonctionne, il doit se maintenir au pouvoir grâce à la terreur, donc il faut un ennemi. Visible ou invisible. Auquel on va faire la guerre, pour justifier le terrorisme de l’État. Pour justifier aussi la suppression des libertés et des droits. Il faut une idéologie. Un discours qui mette en scène un ennemi contre lequel on va partir en guerre et qui, supposément, nous met en danger de mort. Il va falloir construire pour cela un discours mensonger, complètement déconnecté de la réalité de l’expérience. Mais afin qu’il puisse avoir une certaine légitimité, il faut qu’il évolue en permanence, pour empêcher qu’il soit figé et donc soumis à la critique. Il faut que l’idéologie réussisse à modifier la réalité. Ce n’est donc plus la réalité de l’expérience qui fait foi. Avec l’idéologie, on va modifier l’expérience pour qu’elle corresponde à ce qu’on est en train de raconter. Par exemple, si on désigne telle population comme paria, comme danger pour la nation, on va faire en sorte qu’elle devienne dangereuse. On va l’exclure économiquement, lui supprimer ses droits. Si on veut démontrer qu’elle met en danger la santé des individus, on va la mettre elle-même dans des conditions d’hygiène précaire, etc., etc. De telle sorte que le retour de la réalité finisse par correspondre à l’idéologie. [...] Il y a une intention de nuire, totalement assumée dans les discours d’ailleurs, dans les projets. Il y a un très fort déficit d’empathie de la part de cette micro-caste de très, très riches par rapport au reste de l’humanité. C’est à cela qu’on caractérise le harcèlement, d’ailleurs. Une partie des citoyens doit se sacrifier pour le bien commun. C’est une logique totalitaire. On se rend compte que ceux dont on exige le sacrifice sont à peu près toujours les mêmes. [...] Il y a des profils très hétérogènes qui peuvent se retrouver dans une prise de conscience, mais tous sont caractérisés par plusieurs choses : d’abord, ils ont un fort ancrage dans la réalité, des gens qui ont plein de bon sens, des gens qui ont d’autres références, y compris chez leurs ancêtres, qui leur permettent d’apprécier d’une autre façon ce qu’il se passe, de sortir du discours dominant. Ensuite, ce sont des gens qui questionnent la légitimité de l’autorité; ils n’obéissent pas pour obéir, mais parce que le discours de l’autorité a du sens. Et enfin, la caractéristique commune à chaque fois, c’est de ne pas se satisfaire d’un à peu près au niveau de la vérité. Il y a une recherche de vérité, de compréhension. Et le quatrième point:ce sont des gens qui sont capables de faire face à l’isolement. Parce qu’en ce moment, penser au vent contraire, c’est être exposé au harcèlement, à l’isolement, à l’insulte, à la censure et pour cela, il faut avoir une sacrée solidité psychologique. [...] La seule question qui aurait dû occuper l’humanité après la deuxième guerre mondiale, c’est: comment est-on arrivé à un tel degré d’auto-destruction ? Les gens ne se sont pas tellement préoccupés de cette question. Ils ont voulu récupérer la vie; ils ont été incités à jouir de tout, mais cela aurait dûpréoccuper. Tout comme le fait que des chefs d’État aient aujourd’hui la possibilité de balancer des Hiroshima bis devrait nous préoccuper. Günther Anders n’a cessé de tirer la sonnette d’alarme. Pourquoi avons-nous la capacité de nous autodétruire? Pourquoi la majorité des gens préfère être dans la jouissance plutôt que dans cette conscience, qui est certes très austère ? Parce que ce n’est pas très marrant de poser la question de notre responsabilité. C’est plus confortable de se laisser régresser dans un statut de consommateur. [...] Le problème c’est qu’une fois qu’on est entrés dans l’idéologie, elle ne va pas lâcher le morceau. Cette histoire, je la vois se terminer de deux façons possibles: soit en guerre, soit en autodestruction qu’il ne va pas être possible de cacher. Ou les deux. Pour sortir de l’idéologie, il faut que la réalité soit suffisamment difficile pour que les gens se réveillent. Un peu comme dans les sectes desquelles les endoctrinés parviennent à se sortir lorsqu’un événement suffisamment grave est survenu. Tout ceci va mal se terminer. Par une recrudescence de violence. Y compris dans l’opposition qui fera qu’elle pourra même ressembler à ce qu’elle dénonce. Ceux qui n’ont pas compris en théorie devront comprendre en pratique. À partir du moment où vous niez qu’il y a une porte devant vous, vous allez devoir vous la prendre en pleine figure pour accepter son existence. Hannah Arendt disait que le totalitarisme s’effondre quand les masses cessent de croire. Le problème c’est qu’on n’y est pas. Et si cela s’arrêtait simplement, dans quelques mois, avec la levée totale de toutes les mesures et qu’on décidait enfin de vivre avec ce virus ? Non, parce que le sanitaire est un prétexte à une gouvernance mondiale de type totalitaire. À une mise sous contrôle totale de l’individu, dans ses mouvements, dans ses réflexions, dans ses faits et gestes. Ça ne marchera pas parce que ce n’est pas compatible avec la nature humaine. Mais ça ne veut pas dire que ça ne va pas créer des dégâts immenses. C’est déjà le cas. |
PARIS, le 18 octobre 2021 Combien de parlementaires vont oser voter contre le pass sanitaire étendu jusqu’à l’été 2022 ? Ce mardi à l’Assemblée nationale démarre l’examen en séance du texte portant diverses dispositions de « vigilance sanitaire ». Un examen prévu pour être court au regard des sept articles qui composent la loi mais qui pourtant porte atteinte sans aucune commune mesure aux libertés fondamentales des Françaises et des Français. Les restrictions, la division de la société n’en finissent plus et loi après loi, prennent l’apparence de dispositifs légaux. Or, il convient de rappeler tous les régimes d’exception nouveaux que ce gouvernement impose à la Nation depuis mars 2020 :
Sur quelles bases ces mesures trouvent-elles leur fondement ? Les indicateurs – taux d’hospitalisation dus au COVID, cas en réanimation – sont au vert ce qui signifie que la population pourrait retrouver une vie normale. De plus Il ne peut être ignoré que le vaccin par ARN messager est un facteur de nombreux effets secondaires graves. Pourquoi donc pousser le peuple à prendre le moindre risque lié à cette vaccination quand le danger sanitaire n’est pas objectivé ? Est-ce que les taux de Covid bas justifient la désorganisation des hôpitaux en France, la fermeture de certains services, le report de chirurgies, la suspension d’activité et de salaire, l’empêchement de se déplacer librement, et, in fine, la mise en place d’un pass sanitaire prolongé ad vitam aeternam ? Quand la France a-t-elle choisi de ne plus être un pays libre et éclairé ? Martine Wonner appelle ses collègues Députés, élus pour être la voix du Peuple, à s’opposer à cette prolongation injustifiée du pass sanitaire.
Martine WONNER
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Chaque nouveau mensonge couvre le mensonge précédent. La somme des mensonges rend l’émergence de la vérité de plus en plus difficile. Jusqu'au jour où le château de cartes s'effondrera. Les médias et les politiques ont menti de tout temps, ce qui est probablement dans leur ADN. Mais depuis début 2020, nous battons tous les records. [...] Afin de pouvoir échapper à ces interrogations sans réponse, la personne "intelligente" va poser la fameuse question bateau suivante, pour balayer toute argumentation d'un revers de manche. "Pourquoi feraient-ils cela ?" N'ayant pas de réponses (ou de preuves par rapport à des hypothèses), le convaincu s'autorise alors à jeter aux oubliettes le bébé avec l'eau du bain. C'est comme si un inspecteur arrivait sur les lieux d'un crime et, en consultant la scène, voyait un cadavre, des traces de lutte, du sang partout et un couteau ensanglanté... Bref qu'il ait sous les yeux des preuves qu'il y a bien eu un assassinat. Puis soudain une personne "censée" (donc non-complotiste) arrivait et posait la question suivante : "Mais qui, mais pourquoi, dans quel but ?" Et l'inspecteur de répondre bien évidemment qu'il n'a pas, en tous les cas pas encore, la réponse. Et donc d'en déduire qu'il n'y a eu ni décès ni meurtre ! C'est exactement ce processus utilisé pour jeter aux oubliettes la réalité des faits dans la crise du Covid. "Tu ne sais pas pourquoi et par qui tous ces mensonges ont été mis en oeuvre au niveau mondial, c'est donc qu'ils n'existent pas et que tu es dans le délire en énumérant tous ces prétendus mensonges." Le fait de disposer d'indices concordants et de preuves pour chacun des mensonges n'est pas de nature à les rendre réels en l’absence de mobile. Il est extraordinaire de voir à quel point il est facile de tromper le public. [...] Dans ces conditions ma liste de faits sur les mensonges du Covid ou de la vaccination des enfants n'est peut-être pas exhaustive mais tellement "délirante", pour quiconque nourri aux médias classiques, qu'il ne peut l'entendre. Médias qui passent en plus leur temps à faire du "fact checking" en prenant bien soin de n’être qu'à charge et en ne donnant la parole qu'aux auteurs et complices des mensonges. Plus les mensonges sont nombreux et délirants, plus ils passent et plus il s'ancre dans l'imaginaire que tout n'est que vérité. Faire tomber ne serait-ce qu'un seul mensonge n'est pas possible pour le manipulé. Cela l'obligerait à les regarder tous, un par un, et prendre le risque d'ouvrir une boite de pandore. Le risque pour la dictature est bien là et c'est bien pour cela qu'elle verrouille le système au maximum. Si la vérité sort publiquement sur les morts dus aux injections alors le château de carte s'effondrera. Complément, citation de Hannah Arendt : “Quand tout le monde vous ment en permanence, le résultat n’est pas que vous croyez ces mensonges mais que plus personne ne croit plus rien. Un peuple qui ne peut plus rien croire ne peut se faire une opinion. Il est privé non seulement de sa capacité d’agir mais aussi de sa capacité de penser et de juger. Et avec un tel peuple, vous pouvez faire ce que vous voulez”. |