| Révélations sur les quatre "Cités Internationales de la Gastronomie" |
Tours a été désignée Cité Internationale de la Gastronomie le 11 janvier 2013, avec Dijon et Rungis et, un peu plus tard, Lyon. Il est dommage qu'on n'ait pas été alors informé de ce qui se cachait sous cette appellation. Cela est, en partie, révélé par cet article du Canard Enchaîné du 4 janvier 2017 :
A la lumière de ces révélations, on peut relire certains articles de la Nouvelle République (cliquez sur les titres pour retrouver l'article en ligne) :
- Le 4/11/2012, Tours postule :
- Le 15/10/2012, un peu avant la désignation :
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- Le 11/1/2013, juste avant la désignation :
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- Le 12/1/2013, "Que Tours pilote ce socle" :
- Le 19/1/2013, quand la municipalité de Jean Germain prévoyait la construction d'un immeuble de 8 étages et l'annexion de l'île Simon sur la Loire :
- Le 20/6/2013, lancement du réseau des 4 cités de la Gastronomie :
- Le 17/1/2015, "l'ambiteix projer semble revu à la baisse" :
- Le 30/5/2015, réunion à Tours des représentants des 4 cités, où l'on apprend que Tours a choisi une voie "moins fastueuse" que prévue :
- Le 22/1/2016, annonce du nouveau projet :
- Le 3/2/2016, Tours, "le bon élève", "a tout compris" :
- Le 12/6/2016, "Tours joue la carte de la modestie" :
- Le 24/9/2016, inauguration du local Tourangeau, la première des quatre cités est lancée :
- Le 12/1/2017, quand on découvre l'article du Canard Enchaîné et "l'amère potion" :
La Tribune de Tours du 2 février 2017 a aussi réagi aux révélations du Canard en un article titré "Les Cités internationales de la Gastronomie ont-elles un avenir ?"
Il est heureux que la municipalité Babary ait revu en forte baisse le projet de la municipalité Germain précédente. La ville de Dijon n'a pas été aussi prudente, comme le montre cette page ou ce site dédié.
Lien : site officiel de Tours Cité Internationale de la Gastronomie.
Complément du 25 avril 2017 : Villa Rabelais (cité de la Gastronomie) : de beaux arbres abattus. Hé oui, une fois de plus à Tours, un aménagement est un prétexte à abattre des arbres...
Alain Beyrand, le 2 février 2017
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