Saint-Aubin

[1] Le 9.11.1692, Simon PRUDHON et Claude LAURENT, laboureurs à Saint-Aubin, prennent le bail de 6 vingt arpents pour 9 ans [AD 10 - 24 H 67]

[2] Le 9.11.1692, Simon PRUDHON, laboureur à Saint-Aubin et Claude LAURENT, laboureur à Corquelin, prennent le bail de 6 x 20 arpents de terre [AD 10 - 24 H 58]

[3] Le 9.11.1692, Simon PRUDHON, laboureur demeurant à Saint-Aubin et Claude LAURENT, laboureur demeurant à Corquelin, prennent des religieuses du Paraclet, le bail de 6 vingt arpents de terre pour 9 ans. Ils signent. [AD 10 - 24 H 109]

[4] Le 3.3.1693, Simon PRUDHON, qui signe, laboureur à Saint-Aubin, et Fiacre DANTIGNY, qui ne sait pas signer, vigneron à Saint-Aubin, déclarent 1/2 arpent de vigne en très mauvais état appartenant à la veuve Mathieu MOZARD demeurant à Tremblay, en friche depuis 6 ans, baillé des religieuses du Paraclet [AD 10 - 24 H 105]

[5] Le 6.1.1693, Nicolas ANCEAU, qui ne sait pas signer, vigneron demeurant à Saint-Aubin, vend à Simon PRUDHON, qui signe "S Prudhon" avec paraphe, laboureur demeurant à Saint-Aubin, un morceau de terre plantée en vigne contenant environ 1/2 arpent à Saint-Aubin, lieudit Pothière [AD 10 - 2E 66/32]

[6] Le 23.12.1694, Didier LEGER, maréchal à Avant, qui signe "didier leger" avec paraphe, retient à titre de loyer et pension d'argent de Simon PRUDON, laboureur demeurant à Saint-Aubin, qui signe "S Prudhon" avec paraphe, une maison à Avant [AD 10 - 2E 66/32]

[7] Le 20.11.1696, Edmé PASTOUREAU, laboureur à Avant, prend de Simon PRUDHON, laboureur à Saint-Aubin, le bail d'une chambre à feu sur le finage à Avant [AD 10 - 2E 66/33]

[8] Le 15.12.1696, Jean DUMANSON, maçon et couvreur de tuiles et d'ardoises, passe un contrat avec les habitants de Saint-Aubin, représentés par Simon PRUDHON, laboureur à Saint-Aubin, marguillier de présent en charge, qui signe "S Prudhon" avec paraphe, pour réparations [AD 10 - 2E 66/33]

[9] Le 25.6.1697, Pasques GRISLAT, laboureur à Saint-Aubin, prend de la fabrique de Saint-Aubin, représentée par Simon PRUDHON, laboureur à Saint-Aubin, marguillier, le bail de terres à Saint-Aubin. L'acte est signé "Paquet Grillat" avec paraphe [AD 10 - 2 E 66/34]

[10] Le 21.12.1698, Jean MAISTRE, manouvrier à Saint-Aubin, rétrocède à Maître Jean BABELIN, procureur fiscal de Saint-Aubin, 1/3 du marché de coupe de bois fait avec Simon PRUDHON, laboureur, et Edmé VAILLANT, manouvrier à Saint-Aubin [AD 10 - 2E 66/35]

[11] Le 14.12.1698, Michel GRISLAT, qui ne sait pas signer, manouvrier à Saint-Aubin, vend la moitié d'une maison à Saint-Aubin, à Simon PRUDHON, qui signe "S Prudhon" avec paraphe, laboureur à Saint-Aubin. L'autre moitié est à l'acquéreur, acquise de Marie GRISLAT, sœur du vendeur [AD 10 - 2E 66/35]

[12] Le 4.1.1698, Marie GRISLAT, qui ne sait pas signer, veuve de feu Jean VALLÉE, manouvrier, demeurant à présent à Faverolles, vend à Simon PRUDHON, laboureur à Saint-Aubin, la moitié d'une maison en très mauvais état - l'autre moitié est à Michel GRISLAT, frère de la vendeuse - à Saint-Aubin, de la succession de feu Jean GRISLAT, son père. L'acte est signé "S Prudhon" avec paraphe [AD 10 - 2 E 66/35]

[13] Dans des contrats des 12.12.1698, 27.12.1698, 5.1.1699 et 13.10.1699 comparaissent Simon PRUDHON, qui signe "S Prudhon" avec paraphe, laboureur à Saint-Aubin, en son nom et à cause de feue Sirette FORTIER, sa femme, auparavant femme d'Edmé LEGER, vivant charron à Avant, tuteur de Lupien et Marie PRUDHON, enfants mineurs de lui et Sirette FORTIER, chacun héritier pour 1/3 de Sirette FORTIER, et Simon PARISOT, qui ne sait pas signer, laboureur à Avant, tuteur des enfants de lui et feue Simone LEGER, héritiers de l'autre 1/3 de leur aïeule, morte le 6.12.1698. L'acte du 12.12.1698 contient un inventaire [AD 10 - 2 E 66/35]

[14] Le 26.10.1704, Jean BOSSUOT, sabotier à Quincey, qui ne sait pas signer, héritier de Jean BOSSUOT, laboureur à Quincey, vend à Simon PRUDHON, syndic perpétuel de la paroisse de Saint-Aubin, qui signe "S Prudhon" avec paraphe, des terres à Saint-Aubin [AD 10 - 2E 66/38]

[15] Le 26.10.1709, Jeanne ADAM, qui ne sait pas signer, veuve de Nicolas VAILLANT, vigneron à Saint-Aubin, vend à Simon PRUDHON, qui signe "S Prudhon" avec paraphe, receveur de la terre et seigneurie de Saint-Aubin, des vignes à Saint-Aubin [AD 10 - 2 E 66/39]

[16] Le 4.2.1711, Denis LUCAIN, manouvrier à Avant-lès-Marcilly, époux de Marie ROUX, prisonnier à Nogent/Seine, dans l'impuissance de payer 80 livres d'arrièrages à Simon PRUDHON à Saint-Aubin, sur les lots de partages faits entre eux et Charles GOUBRY, marchand à Sognes,époux d'Edmée ROUX, sur les biens de Antoine ROUX et Marie PONCE, leurs père et mère [AD 10 - 2 E 66/40]

[17] Le 28.1.1712, Edmé FONTAINE, manouvrier à Marnay et Martine et Jeanne FONTAINE, filles majeures à Marnay, héritiers de Martine DEXAINS leur mère - qui ne savent pas signer -, vendent à Honorable Homme Simon PRUDHON, receveur de la terre et seigneurie de Saint-Aubin - qui signe "S Prudhon" avec paraphe - leur part et portion des héritages à Saint-Aubin de ladite défunte DESQUAINS, faisant partage avec ses co-héritiers de la succession de feu François DESQUAINS et Sirette CAILLÉ, leurs père et mère, aïeul et aïeule des vendeurs, par partage fait devant Jacques BAILLET, arpenteur juré, et Antoine JEANNERAT, les 21 et 22.4.1671 [AD 10 - 2 E 66/41]