La famille MERCIER est mentionnée à Saint-Aubin depuis le milieu du XVème siècle avec Perrin et Guillin, cités en 1433. Au tout début du XVIème siécle se distingue la branche des MERCIER dit "le bègue", alors représentée par Jean et Jacquin. Ces deux derniers sont sans doute les mêmes qui sont cités en 1507 héritiers de MERCIER avec Jacquin CHEVRIER, Colin SIMON, Benoît BENOIT, Jean HODOUART et Catherine MERCIER. Voir aussi la famille BEGUE.
En 1433, Perrin LE MERCIER, de Saint-Aubin, vend un arpent de terre à Saint-Aubin[1].
Pierre MERCIER, de Marnay/Seine, paye censive au seigneur de La Chapelle-Godefroy de 1491 à 1506 pour sa vigne[2].
En 1488-1490, Marion veuve de Jean MERCIER, fait une déclaration au censier de l'Abbaye du Paraclet[3].
Les héritiers de feu Jean LE MERCIER dit Besgue et les héritiers de feu Jean PESCHELOCHE payent censive au seigneur de Saint-Aubin de 1491 à 1496[4].
La veuve de Jean MERCIER paye cens et rente au seigneur de Saint-Aubin de 1493 à 1599. Elle paye pour la vigne de son fils Jean MERCIER en 1493 et 1595. Les héritiers de feu Jean MERCIER payent de 1496 à 1510. En 1507, les héritiers MERCIER sont: Jacquin CHEVRIER, Colin SIMON, Jacquin MERCIER, Jean MERCIER, Benoist BENOIST, Jean HODOUART et Catherine MERCIER. Colin SIMON a payé pour eux en 1510[5].
Les héritiers de Marion MERCIER payent cens et rente au seigneur de Saint-Aubin de 1499 à 1505. Jacquin CHEVRIER paye en 1506 pour cens et rente des héritages de feu LA MERCIERE[6].
Leurs héritiers (sans doute enfants et gendres) sont:
Les héritiers de la veuve de Jean MERCIER payent censive à l'Abbaye du Paraclet entre 1535 et 1538; en 1537 par les mains de Nicolas MERCIER[8].
Jean MERCIER dit le Besgue paye censive au seigneur de Saint-Aubin:
de 1495 à 1502 pour un quartier de plante
en 1498 à 1507 pour deux arpents de terre en la Tavelle que tenait Nicolas DU CHESNE
en 1498 pour Perrin SIREAU
en 1499 pour un quartier de terre assis devers la Garenne
de 1500 à 1507 pour 13 arpents de terre à Saint-Aubin et un arpent à La Chapelle-Godefoy par lui acquis de Pierre CORNU
de 1504 à 1507, pour les terres et prés qu'il a acquis de Colin GALLOIS
en 1504 pour un demi-arpent de pré assis près du pont au pied
à La Chapelle en 1504 et 1505 pour un demi-arpent de vigne
Jean SIMON paye censive au seigneur de Saint-Aubin en 1513 et 1517 pour un arpent acquis de Jean MERCIER[9].
La veuve de Jehan MERCIER paye censive au seigneur de Saint-Aubin en 1511 et 1513, en 1518 à La Chapelle, puis de 1526 à 1533.
Les héritiers de Jehan MERCIER payent en 1511 et 1513 pour cens et rente, en 1520 puis de 1526 à 1529. Ils sont sans doute les héritiers de Jehan LE MERCIER l'aîné qui payent à Saint-Aubin en 1519 et encore les héritiers de Jehan MERCIER dit le Becgue payent en 1533.
Jeha. "Lesne" et la veuve Jeh. MERCIER payent censive en 1521 à La Chapelle[10].
Les héritiers de Jehan LE MERCIER de Nogent/Seine et Jehan LE MERCIER dit Bègue possèdent une terre en commun en 1524[15], et semble-t'il une maison en commun en 1530[16].
Jean MERCIER le jeune paye censive au seigneur de Saint-Aubin:
en 1519 pour demi-arpent de terre
en 1522 à La Chapelle
en 1528 pour un quartier et demi de terre acquis de Laurent GILLES[17].
Il n'a pas toujours été possible de distinguer les 3 ou 4 Jean MERCIER ci-dessus (le bègue, le jeune, de Nogent/Seine, …) d'après les censives de Saint-Aubin. Les citations ont donc été distribuées sans grande certitude.
En 1513, Jacquin MERCIER dit le Besgue et Michau BENOIST, laboureurs à Saint-Aubin, reconnaissent à l'Abbaye du Paraclet une obligation pour les dîmes de Saint-Aubin[18].
Jacquin MERCIER dit Bègue paye censive au seigneur de Saint-Aubin de 1504 à 1529. Il paye:
pour sa plante ou vigne
pour un demi-arpent de terre acquis de la veuve POPILLART pour rente et censive
pour 3 quartiers de vigne assis à la côte Saint-Aubin, pour 2 arpents de terre assis à la fosse au loup
Il est peut-être le Jacquinot MERCIER qui paye censive au seigneur de Saint-Aubin entre 1518 et 1520[19].
En 1533, Ambroise SYMON paye censive pour Jacquin MERCIER[20].
Dans plusieurs censiers établie pour l'Abbaye du Paraclet à Saint-Aubin entre 1530 et 1532, les héritiers de Jacquin MERCI ER déclarent une maison en la Grand Rue du Saint-Aubin et 3 quartiers de terre[21], [22], [23].
Dans plusieurs censiers établis pour l'Abbaye du Paraclet à Saint-Aubin entre 1530 et 1532, Jacquin ou Jacques MERCIER déclare un arpent de terre en l'oche à La Gaillarde[24], [25].
En 1535, Jacquin MERCIER est témoin dans une enquête[26], [27].
Dans plusieurs censiers établis pour l'Abbaye du Paraclet à Saint-Aubin entre 1530 et 1532, Jacquinot MERCIER déclare un quartier de masure et pré rue Chèvre[28], [29]. Il renouvelle cette même déclaration entre 1535 et 1537[30]. Il est sans doute aussi le Jacquinot BEGUE qui intervient avec Colin SIMON, Martin MIGORDIN et Michel BENOIST dans le censier de l'Abbaye du Paraclet entre 1530 et 1532.
Dans une liste des habitants de Saint-Aubin établie en 1541 est cité Jacquin MERCIER[31] (il s'agit sans doute de sa veuve !).
En 1540, Claude MERCIER est nommé tuteur et curateur du coté paternel des enfants mineurs de feu Jacquinot MERCIER et Guillemette BILLARDON: Jacques, Marion et Anne MERCIER. Denis BILLARDON, leur oncle maternel, est tuteur et curateur des enfants du coté maternel. Les autres plus proches parents des mineurs sont Denis MERCIER, Jean MERCIER dit Besgue et Jean ROMILLY à cause de Barbe MERCIER sa femme[32].
Jacques MERCIER et Guillemette BILLARDON sont les parents de:
Jacques MERCIER paye censive au seigneur de Saint-Aubin de 1559 à 1574. Il paye pour plusieurs particuliers de Saint-Aubin:
la veuve de Nicolas PILLAVOYNE en 1564
Jean MERCIER pour 1 quartier de terre en 1571 et 1572
Barbe SYMON en 1573
Plusieurs particuliers de Saint-Aubin payent pour lui:
Jacques CHEVRIER en 1565
Claude DORY en 1566
Pierre PAILLONET en 1578
Les héritiers de Jacques MERCIER payent en 1575; Edmé SYMONNET, de Marnay, son héritier, paye en 1576[33].
En 1574, Jacques MERCIER fait une déclaration au censier du seigneur de Saint-Aubin. Il signe "J Mercier" avec paraphe[34], [35].
Dans une liste des habitants de Saint-Aubin établie en 1541 est cité Jean MERCIER dit Begue[36].
Jean MERCIER dit Begue paye censive au seigneur de Saint-Aubin de 1559 à 1561[37].
En 1566 ou 1567, Jean LE MERCIER dit le Beurre prend le bail de 10 arpents de terre à Saint-Aubin[38].
Jean MERCIER paye censive au seigneur de Saint-Aubin de 1559 à 1564[39].
En 1564, Jean MERCIER, vigneron à Saint-Aubin, prend de l'Abbaye du Paraclet le bail perpétuel d'un demi-arpent de terre à condition de la planter en vigne et d'en pressurer les raisins au pressoir de l'Abbaye[40].
La veuve de Jean MERCYER paye censive au seigneur de Saint-Aubin en 1565 et 1572. Mathias SOMMILLON, héritier de Jean MERCIER, paye en 1568[41].
Philippe MERCIER paye censive au seigneur de Saint-Aubin de 1559 à 1581. Il paye:
pour les héritiers de Jean BEGUE en 1567
pour l'héritage de feu son père en 1568
à cause de Marquet GILLES son frère en 1569
Jacques MIGOURDIN paye pour Philippe MERCIER à cause de feue sa femme en 1572[42].
En 1564, Philippe MERCIER, vigneron à Saint-Aubin, prend de l'Abbaye du Paraclet le bail perpétuel d'un demi-arpent de terre à condition de la planter en vigne et d'en pressurer les raisins au pressoir de l'Abbaye[43].
Philippe MERCIER et Jeanne sont les parents de:
En 1542, dans une procédure opposant l'Abbaye du Paraclet au réformateur des eaux-et-forêts du Duché de Nemours, les religieuses prennent la cause pour Claude MERCIER et Ambroise SYMON[44].
En 1543, Claude MERCIER, laboureur à Saint-Aubin, est témoin dans une enquête. Il est âgé d'environ 40 ans, et est natif de Saint-Aubin où il a toujours résidé[45].
La veuve et les héritiers de Claude MERCIER payent censive au seigneur de Saint-Aubin de 1559 à 1571[46].
Claude MERCIER est le père de:
Nicole MERCIER, épouse de Jean TORELET est certainement la fille de Claude MERCIER car son gendre Simon JUBELOT est cité en 1601 parent[49] et en 1605 cousin[50] de Jean MERCIER le jeune, fils d'Hilaire et petit-fils de Claude MERCIER. D'autre part, Jean TORELET paye censive en 1572[51] pour la veuve de Claude MERCIER.
Hilaire MERCIER paye censive au seigneur de Saint-Aubin de 1574 à 1584. Il paye pour feue Marguerite MERLIN, sa belle-mère, en 1576 et 1577. Il paye pour Marion DUPUYS en 1584[52].
En 1575/1576[53] et 1582[54], [55], Hilaire MERCIER déclare au censier de l'Abbaye du Paraclet un chas de maison rue Peschelosche plus une terre à faire chénevière. Il ne sait pas signer.
En 1588, Guillaume MIGOURDIN vend une maison à 2 chas rue Pescheloche, partie échangée avec Hilaire MERCIER et partie à Marion DUPUYS[56].
La veuve d'Hilaire MERCIER paye censive au seigneur de Saint-Aubin tant pour elle que pour ses enfants en 1593[57].
Hilaire MERCIER et Denise PINET sont les parents de:
En 1589, Françoise GOBINOT, veuve de Hilaire MERCIER, à Saint-Aubin, vend la moitié d'un arpent de vigne à Postière, échu par partage fait le même jour entre elle et Paquet GRISLAT, tuteur de Jean MERCIER, fils mineur d'Hilaire[58].
En 1594, Françoise GOBINOT, veuve de Hilaire MERCIER, à Saint-Aubin, vend un quartier de terre labourable à Cormont. Elle ne sait pas signer[59].
En 1608, Françoise GOBINOT, veuve d'Hilaire MERCIER, manouvrier à Saint-Aubin, vend 3 parts sur 4 d'un pré au lieudit "le pré Odouart" plus une petite portion de pré au lieudit "le pré Caillous". Elle ne sait pas signer[60].
Hilaire MERCIER et Françoise GOBINOT sont les parents de:
En 1545, Félisot MERCIER, laboureur à Mont-le-Potier, vend 8 perches de pré à Saint-Aubin[61].
Jean MERCIER paye censive au seigneur de Saint-Aubin de 1566 à 1568. Jérôme COLART paye pour lui en 1570 et Jacques MERCIER paye pour lui pour 1 quartier de terre en 1571 et 1572[62].
En 1572, Jean MERCIER, vigneron à Saint-Aubin, fait une déclaration au censier du seigneur de Saint-Aubin[63], [64].
En 1572, Jean MERCIER, vigneron à Saint-Aubin, vend un quartier de terre en l'Essart. Il ne sait pas signer[65].
En 1574, Jean MERCIER, vigneron à Saint-Aubin, reconnaît un bail perpétuel pris de l'Abbaye du Paraclet d'un quartier de vigne en l'Essart autrefois à Etienne VOITERIN. Il ne sait pas signer[66].
En 1574, Jean MERCIER, vigneron à Saint-Aubin, prend de l'Abbaye du Paraclet le bail perpétuel d'un quartier de terre à condition de la planter en vigne et d'en pressurer les raisins au pressoir de l'Abbaye. Il signe "Jehan Mercier"[67].
Les héritiers de Jean MERCIER dit Bon Jean payent censive au seigneur de Saint-Aubin en 1575. Jean BROCART paye pour les enfants de Jean MERCIER dit Bon Jean en 1580[68].
Jean MERCIER dit Bon Jean est le père de:
Jesse MERCIER paye censive au seigneur de Saint-Aubin en 1571. Jehan GUICHON paye pour les héritiers de Jesse MERCIER en 1573[72].
Denis MERCIER paye censive au seigneur de Saint-Aubin de 1573 à 1585. Il paye pour feu Laurent LE MADRE, ses héritiers puis sa veuve[73].
Denis MERCIER paye censive au seigneur de Saint-Aubin de 1593 à 1599. Il paye pour l'église la Chapelle en 1593 pour les mêmes années. La veuve Denis MERCIER paye en 1600 et 1601 et Louvet PHILIPPE à présent mari de la veuve Denis MERCIER paye en 1602[74].
Michel MERCIER paye censive au seigneur de Saint-Aubin de 1559 à 1585. Il paye:
pour et comme héritier d'Etienne CHEVALOT de 1559 à 1564
pour Sébastien BEGUE en 1561
pour Georges COLAS en 1563
pour Denis BENARD en 1570
pour Rolland MERLIN en 1579
Plusieurs particuliers payent pour lui:
Pierre SUYNOT en 1561
Louet ROUSSAT en 1581 et 1582[75]
En 1575/1576[76] et 1582[77], [78], Michel MERCIER, de La Chapelle-Godefroy, déclare 3 quartiers de terre au censier de l'Abbaye du Paraclet. Il ne sait pas signer.
Les héritiers de Michel MERCIER paye censive au seigneur de Saint-Aubin de 1593 à 1598[79].
Michel MERCIER et Jeanne sont les parents de:
Michel MERCIER paye censive au seigneur de Saint-Aubin de 1598 à 1611. Il paye:
pour Gabriel ASSELIN pour un demi-arpent de terre qu'il a acquis de lui au dessus du pont au pied en 1598 et 1599
pour Pierre ROUSSAT pour quartier de terre qu'il a acquis de lui au petit poirier en 1598 et 1599
en l'acquis de Jean MERCIER pour un quartier et demi de terre près la maison Christophe LALLEMENT en 1598 et 1599
en l'acquêt de Jean MARATTE en 1602
en l'acquêt de Gabriel TIX.CHAN pour 2 quartiers de terre près la maison LALLEMENT en 1602[80].
En 1591, Michel MERCIER est cité dans le rôle et état de la formation des eaux-et-forêts[81].
Pierre ROUSSAT paye censive à cause d'un quartier de terre assis près le chemin de Marnay qu'il a eu de Michel MERCIER par échange en 1602[82].
En 1604, Michel MERCIER, laboureur à Bernière, paroisse de Nogent/Seine, échange 3 quartiers de terre labourable à Saint-Aubin et La Chapelle-Godefroy. Il signe[83].
En 1610, Michel MERCIER, de La Chapelle-Godefroy, fait une déclaration au censier du seigneur de Saint-Aubin. Il signe "Mercyer" avec paraphe[84].
En 1611, Michel MERCIER, laboureur à La Chapelle-Godefroy, prend des seigneurs de Saint-Aubin le bail d'héritages saisis sur plusieurs particuliers de Saint-Aubin[85].
Michel MERCIER paye censive au seigneur de Saint-Aubin de 1612 à 1622[86].
Sans doute en 1623, Michel MERSIER reprend une maison déclarée en 1532 au censier de l'Abbaye du Paraclet par Jean MERCIER et Jean BEGUE[87].
× à Claude SUINOT
×(2) à Benoîte VERNIER, (†) 24.9.1624 La Chapelle-Godefroy, peut-être fille de Christophe V. et Barbe
En 1632, Maître Michel MERCIER, lieutenant en la Mairie de La Chapelle-Godefroy, s'accorde avec un notaire à propos de 4 arpents de pré à La Chapelle-Godefroy et Saint-Aubin. Ils signe "Mercier" avec paraphe[89].
En 1642, les héritiers de Michel MERCIER font une déclaration au censier du seigneur de Saint-Aubin[90].
× 12.2.1624 La Chapelle-Godefroy à Honnête Femme, Demoiselle Marthe PARASTRE, marraine à La Chapelle-Godefroy les 11.10.1624, 2.2.1625, 24.3.1630 et 27.3.1634, de Marnay/Seine, fille de Honorable Homme Simon P., ×(2) à Jérôme LARIBE
En 1585, Nicolas MERCIER figurent parmi les héritiers de Jacquin MERLIN[92].
En 1589, Nicolas MERCIER laboureur à La Chapelle-Godefroy, tuteur de Michel, fils mineur de feu Jean ROUSSAT, et Ambroise BARBOTIN, en son nom, reprennent un bail fait en 1564 par feu Jean MIGOURDIN, vigneron à Saint-Aubin. Il ne sait pas signer[93].
Nicolas MERCIER paye censive au seigneur de Saint-Aubin de 1594 à 1606. La veuve de Nicolas MERCIER paye de 1607 à 1611. Il paye en l'acquit de Guyon GAULTHIER. Plusieurs particuliers payent pour lui:
Guillaume GILLES pour un quartier et demi de terre assis au poirier la hault doux en 1599
Edmé CAULAY pour 1 quartier de terre qu'il a acquis en 1600[94]
En 1600, Nicolas MERCIER, laboureur à La Chapelle-Godefroy, et Edmée BALLIGAULT, sa femme, vendent un arpent de terre labourable à Courclain. Ils ne savent pas signer[95].
En 1610, la veuve et les héritiers de Nicolas MERCIER, de la Chapelle-Godefroy, font une déclaration au censier du seigneur de Saint-Aubin[96].
La veuve Nicolas MERCIER paye censive au seigneur de Saint-Aubin en 1612 et 1613 et ses héritiers en 1614 et 1615[97].
× à Edmée BALLIGAULT, ne sait pas signer, ! en 1607-1613
En 1575/1576[98] et 1582[99], [100], Jean MERCIER fait une déclaration au censier de l'Abbaye du Paraclet. Il posséde entre autre une maison à 2 chas rue de Cormont. Il signe "Jehan Mercier".
Jean MERCIER paye censive au seigneur de Saint-Aubin en 1584 et 1585[101].
Jean MERCIER paye censive au seigneur de Saint-Aubin de 1593 à 1604 et Jean MERCIER l'aîné paye de 1605 à 1611. Il paye pour Jean MARATTE pour cinq quartiers et demi de terre ou environ qu'il a acquis de lui assis en divers lieux en 1598
Plusieurs particuliers payent pour lui:
Jean SEURTIN pour un quartier de terre qu'il a acquis de lui près le chemin d'Orléans, et pour huit cordes de terre qu'il a acquis de lui aux Hepiars en 1598
Michel MERCIER en l'acquis de Jean MERCIER pour un quartier et demi de terre près la maison Christophe LALLEMENT en 1598 et 1599[102]
Jean MERCIER paye censive au seigneur de Saint-Aubin de 1603 à 1605. Jean MERCIER l'aîné paye de 1606 à 1612. Il paye à cause d'un arpent de vigne près les Garennes en 1606. Jean MERCIER (l'aîné), Martin BENOIST et Nicolas VOITERIN (MAISTRE en 1612) payent pour un arpent de vigne aux Garennes de 1609 à 1612[103].
En 1610, Jean MERCIER l'aîné fait une déclaration au censier du seigneur de Saint-Aubin. Il possède entre autre une maison à 2 chas rue aux Raales. Il signe "Jehan Mersier"[104].
Jean MERCIER l'aîné paye censive au seigneur de Saint-Aubin de 1612 à 1616[105].
× à Nicole
En 1597, Jean MERCIER, manouvrier à Saint-Aubin, et Jeanne DE DIMON, sa femme, vendent 18 cordes de terre labourable en "La Terre à Letrain". Il signe "Jehan Mercier", elle ne sait pas signer[106].
× à Jeanne SORTIN, peut-être × à Pierre GILLES, fille de Jean S. et Marguerite DESQUAINS
× à Jeanne MORIN
Jean MERCIER le jeune paye censive au seigneur de Saint-Aubin de 1605 à 1611. Jean MERCIER le jeune paye en l'acquêt de Jean GIRARD à Cormont en 1605 et Jean GIRARD paye en l'acquêt de Jean MERCIER le jeune pour 1 quartier de vigne en Houssoy de 1605 à 1608. Jean MERCIER le jeune paye pour sa maison dépendant du fief de Cormont en 1607[108].
Jean MERCIER le jeune paye censive au seigneur de Saint-Aubin pour sa maison à Cormont de 1612 à 1614[109].
× à Isabelle
En 1677, les cousins germains des défunts Denis et Crespin MERCIER, enfants de feu François MERCIER, vigneron à Saint-Aubin, assignent le tuteur des défunts devant le Maire de Saint-Aubin, ils sont:
Nicolas MARCHAND, tisserand en toile à Saint-Aubin, à cause d'Anne MERCIER sa femme
Nicolas MERCIER, bachoteur à Pont/Seine
Claude TORTILLON, veuve d'Edmé MERCIER, bachoteur à Pont/Seine[110]
Sont frères:
Léonard MERCIER fait une déclaration au censier du seigneur de Saint-Aubin en 1642[111].
En 1656, Léonard MERCIER est cité avec d'autres particuliers de Saint-Aubin dans une vente de bois[112].
Léonard MERCIER et Liesse DE VIGNES sont les parents de:
En 1638, dans un arpentage des vignes de l'Abbaye du Paraclet à Saint-Aubin, François MERCIER déclare 2 articles, plus tard repris par Jean FONTAINE l'aîné[113].
En 1642, François MERCIER fait une déclaration au censier du seigneur de Saint-Aubin[114].
× 11.7.1631 à Marguerite FONTAINE, ne sait pas signer, marraine à La Chapelle-Godefroy le 23.9.1637, peut-être fille d'Aubin F. ou de Claude F.
×(1) à Marie PHILIPPE, † 16.3.1666 Quincey, (†) le 17 dans l'église de Quincey
Dans un contrat notarié établi en 1689, mention d'une rente de 15 livres due par Gabriel MERCIER, charron à Quincey, comme ayant épousé la veuve VOITRIN[117].
×(2) à Marguerite MAISTRE, ×(1) à Nicolas VOITRIN, † /1688
En 1701, Jean MERCIER et Anne DEVIGNE interviennent comme héritiers de Etienne DEVIGNE et Anne BENOIST[118].
× 1.3.1683 Quincey à Anne DEVIGNE, fille de Jean D. et Sirette BALLIGAULT
Claude MERCIER paye censive au seigneur de Saint-Aubin en 1622 et 1623 au lieu de Jean MERCIER[119].