Jean MERAT paye censive au seigneur de Saint-Aubin de 1491 à 1499 pour le moulin de Bailly sur la rivière d'Arduisson[1].
En 1568, Nicolas MERAT, de Saint-Aubin, mercenaire des religieuses du Paraclet, est poursuivi pour avoir été pris avec un fagot de bois vert qu'il avait pris avec une fourche dans le bois du Tillet[2].
François GALLOIS paye censive pour Nicolas MERAT en 1575[3].
En 1602, Louis MERAT, vigneron à Saint-Aubin, prend de l'Abbaye du Paraclet le bail d'un demi-arpent de terre à Pothière, qu'il s'engage à planter en vigne et d'en porter les raisins au pressoir de l'Abbaye du Paraclet[4].
Louis MERAT paye censive au seigneur de Saint-Aubin en 1610 et 1611[5].
Louis MERAT paye censive au seigneur de Saint-Aubin de 1612 à 1623. Il paye pour plusieurs particuliers de Saint-Aubin[6].
En 1623, Louis MERAT à cause de sa femme et les mineurs de Claude GRAND reprennent les héritages déclarés auparavant par les héritiers de Jean ROUSSAT et Martine THOMAS[7].
Vers 1623, Louis MERAT est cité pour avoir repris des héritages déclarés au censier de l'Abbaye du Paraclet en 1532. Ces héritages proviennent sans doute de sa femme:
des terres par Jean MERCIER et Jean BEGUE[8]
une maison par Colin SIMON, Martin MIGOURDIN, Michelet BENOIST et Jacquinot BEGUE[9].
Louis MERAT et Jeanne MERCIER sont les parents de:
En 1625, Louis MERAT, laboureur à Saint-Aubin intervient dans une vente à cause de Lupienne GILLES, sa femme, veuve de Claude GRAND[11].
En 1684, Claude MERAT est assigné comme témoin pour un conflit sur les bois de Marnay. Il est absent et sa femme répond pour lui[12].
× /1677 à Marie ou Jeanne FRICHET