En 1558, Antoine LORMIER, manouvrier à Saint-Aubin, et Barbe ANCEAU, sa femme, vendent un jardin contenant 7 à 8 cordes, à Saint-Aubin[1].
Antoine LORMIER paye censive au seigneur de Saint-Aubin de 1559 à 1563, sa veuve paye de 1564 à 1575 et Blaise LORMIER paye pour ses héritiers en 1576[2].
En 1572, Barbe ANCEAU, veuve d'Antoine LORMIER, fait une déclaration au censier du seigneur de Saint-Aubin[3], [4].
Barbe ANCEAU semble apparentée à Guyon ANCEAU (fils de Georges) car ce dernier paye censive au seigneur de Saint-Aubin en 1572 pour Blaise LORMIER, fils de Barbe ANCEAU.
Antoine LORMIER est probablement le père de:
Blaise LORMIER paye censive au seigneur de Saint-Aubin de 1568 à 1585. Il paye pour Nicolas VOITRIN en 1568. Guyon ANCEAU, en 1572, Jean POPILLART en 1572 et Jacques BENOIST en 1574 et 1583 payent pour lui. Il paye pour sa maison en 1575. Il paye pour les héritiers d'Antoine LORMIER en 1576[5].
En 1572, Blaise LORMIER fait une déclaration au censier du seigneur de Saint-Aubin. Il signe "Blaise Lormier"[6], [7].
En 1580, un particulier de Saint-Aubin vend la rente sur une maison acquise de Blaise LHORMIER[8].
En 1582, Blaise LORMIER fait une déclaration au censier de l'Abbaye du Paraclet. Il déclare un chas de maison, plus tard à Denis LECLERC. Il signe "Blaise Lormier"[9].
En 1585, Blaise LORMIER, tisserand de toile à Courclain, vend un demi-arpent de terre labourable au finage d'Avant au lieudit "La Justice", partagé par indivis avec la veuve et les héritiers de feu Sébastien BEGUE. Il signe "Blaise Lormier"[10].
Blaise LORMIER paye censive au seigneur de Saint-Aubin de 1593 à 1596. Il paye pour la moitié de la maison qu'il a acquise des héritiers de Claude COLLAS[11].
En 1595, Blaise LORMIER, tisserand de toile à Saint-Aubin vend un demi-quartier de terre rue aux Charrons, partagé par indivis avec les enfants mineurs de feu Claude COLARD, naguère acquis d'Etienne MERLIN. Il signe "Blaise Lormier"[12].
En 1594, Jean LORMIER, laboureur à Saint-Aubin, et Didière HERMAY, sa femme, vendent un demi-arpent de terre et pré en 2 pièces au lieudit "Le Vergez près la Chosme". Ils ne savent pas signer[13].
En 1596, Jean LORMIER, laboureur à Saint-Aubin et Didière HERMAY, sa femme, achètent un demi-arpent de terre et pré en 2 pièces[14].
En 1591, Jean LORMIER est cité avec d'autres habitants de Saint-Aubin dans le rôle et état de la formation des eaux-et-forêts[15].