Saint-Aubin

LE PAPE


A. Simon
, ! en 1559 à Quincey ou Saint-Aubin

En 1559, Simon LE PAPE prend du roi le bail de 34 arpents et un demi-quartier de terre à Quincey[1].


B. Claude, foulonnier à Provins, ! en 1643-1656

En 1643, Claude LE PAPE, foulonnier à Saint-Aubin, prend un apprenti pour 4 ans, pour lui apprendre l'art et métier de foulon[2].

En 1650, Claude LE PAPE, foulonnier à Saint-Aubin, époux de Françoise MERAT, veuve de Jean GILBERT, maréchal à Nogent/Seine, intervient dans un contrat notarié comme tuteur des enfants dudit GILBERT, pour une maison à Nogent/Seine provenant de leur aïeul Jean GILBERT, partagée en indivis avec Anne BLONDEAU, sa veuve[3].

En 1656, Claude LE PAPE, foulonnier ci-devant à Provins intervient dans un contrat notarié à Nogent/Seine[4].

× à Edmonde BOSSET, ° ca 1594, (†) 12.5.1644 "en l'église, proche le benistier"

×(2) 7.11.1644 à Francoise MERAT, ! en 1650, ×(1) à Jean GILBERT, maréchal à Nogent/Seine, fils de Jean G., † /1650, et Anne BLONDEAU

Claude est sans doute proche parent, probablement frère de Marie LE PAPE, épouse d'Etienne AUBERT.