Saint-Aubin

[1] Le 9.5.1562, devant Denis ANGENOST, écuyer, seigneur des Barres, Vénérable et Discrète Personne Maître Sébastien GUESDON, prêtre curé de Châtillon, doyen de Nogent et Pont-sur-Seine, baille à titre de moisson et pension d'argent à Jehan LE BEAU, laboureur demeurant à Nogent, de 36 arpents à Fontaine-Mâcon et Saint-Aubin [AD 10 - 24 H 100]

[2] Le 18.5.1564, Jehan BEAU l'aîné et Phelipes JACOPIN, marchand et laboureur demeurant à Nogent prennent à titre de loyer et pension d'argent des religieuses du Paraclet 32 arpents de terre en 2 pièces, soit 23 arpents 3 quartiers à Fontaine-Mâcon, au lieudit "Les carreaux l'abbesse" et 11 arpents 1 quartier à Saint-Aubin [AD 10 - 24 H 100]

[3] Jehan BEAU paye censive à Saint-Aubin en 1565-1569; sa veuve paye censive en 1570-1575; ses hoirs en 1578 [AD 10 - E* 2881]

[4] Pierre BEAU paye censive à Saint-Aubin en 1571-1577 [AD 10 - E* 2881]

[5] Déclaration au censier de Saint-Aubin du 20.7.1576 de Pierre BEAU à cause de Barbe BEGUE, sa femme. Taxé à 1 sol de cens. [AD 10 - E* 2875]

[6] Censier de NUGAULT à Saint-Aubin en 1570-1580: déclaration de Pierre BEAU à cause de Barbe BEIGNE, sa femme, pour 1 article [AD 10 - E* 2882]

[7] Didier et Martin BEAU, frères, payent censive à Saint-Aubin en 1584-1585 [AD 10 - E* 2881]

[8] Dans les censives de Saint-Aubin de 1594-1611, Martin BEAU paye censive tant pour lui que pour les enfants de Jehan BEAU pour 5 années en 1593 et pour 12 années en 1600 sans préjudice des défaults et amendes; Martin BEAU paye chaque année de 1601 à 1604, en 1606 pour 2 années, et chaque année de 1607 à 1611 [AD 10 - E* 2883]

[9] Dans les censives de Saint-Aubin de 1612-1623 [AD 10 - E* 2881]

Martin BEAU paye en 1612-1615, 1618-1620. Les héritiers Martin BEAU payent en 1621-1623

[10] Le 3.6.1758, les religieuses du Paraclet donne reçu à Messire Adrien VIOLLAINE, prêtre curé de Ferreux, au nom de Margueritte LE BEAU, fille majeure demeurant à Nogent/Seine, seule fille et unique héritière de feu Sieur Jean LE BEAU, maître chirurgien à Nogent, et Edmée PILAVOINE, de 262 livres 10 sols pour rachat de 7 livres 10 sols de rente constituée par les défunts solidairement avec Pierre PILLAVOINE le 24.3.1693 pour le prix des biens de la succession de Marie BARDY, épouse de Marin TROUILLET, à eux vendue par DROUIN curateur de la succession vacante de Marie BARDY [AD 10 - 24 H 58]