En 1488, les héritiers de feu Jean LARGENTIER, de Nogent/Seine, font une déclaration au censier de l'Abbaye du Paraclet à Saint-Aubin. Ils possèdent entre autre des maisons rue de Courmont[1].
Les héritiers de feu Jean LARGENTIER de Nogent/Seine payent censive au seigneur de Saint-Aubin pour de nombreux héritages entre 1491 et 1500. Jeanne LARGENTIERE, femme de Pierre PION, paye censive entre 1510 et 1520[2].
Une déclaration de 1580 évoque le bail de terres fait en 1491 à feu Jacques MERLIN par Jean DE SAINT AMOUR et Jeanne LARGENTIER, pour ses frères et surs, les défunts Claude, Jean et Jeanne[3]. Ceux-ci sont sans doute les héritiers de feu Jean LARGENTIER cités dès 1488.
En 1541, Honorables Hommes Claude LARGENTIER, procureur et Jean DE SAINT AMOUR, receveur de Nogent/Seine, comparaissent dans une procédure[7].