Saint-Aubin

LARGENTIER


A. Jean, de Nogent/Seine, † /1488, × à Perrette PERROTE, fille d'André P., de Saint-Florentin, Seigneur de la Croslière

En 1488, les héritiers de feu Jean LARGENTIER, de Nogent/Seine, font une déclaration au censier de l'Abbaye du Paraclet à Saint-Aubin. Ils possèdent entre autre des maisons rue de Courmont[1].

Les héritiers de feu Jean LARGENTIER de Nogent/Seine payent censive au seigneur de Saint-Aubin pour de nombreux héritages entre 1491 et 1500. Jeanne LARGENTIERE, femme de Pierre PION, paye censive entre 1510 et 1520[2].

Une déclaration de 1580 évoque le bail de terres fait en 1491 à feu Jacques MERLIN par Jean DE SAINT AMOUR et Jeanne LARGENTIER, pour ses frères et sœurs, les défunts Claude, Jean et Jeanne[3]. Ceux-ci sont sans doute les héritiers de feu Jean LARGENTIER cités dès 1488.

Il s'agit sans doute de Maître Claude LARGENTIER, qui est entendu comme témoin en 1536 avec son fils Claude LARGENTIER, bailli de Bray[5]. En 1535, Claude LARGENTIER, seigneur de la Croslière, fait assigner plusieurs témoins pour défendre son droit sur les gaignage et labourage de la Croslière[6].

En 1541, Honorables Hommes Claude LARGENTIER, procureur et Jean DE SAINT AMOUR, receveur de Nogent/Seine, comparaissent dans une procédure[7].