En 1564, Philippe JACOPIN et Jean BEAU l'aîné, laboureur et marchand à Nogent/Seine prennent de l'Abbaye du Paraclet le bail de 32 arpents de terre[1].
En 1571, le nom de Philippe JACOPIN, laboureur à Nogent/Seine est cité dans un acte de partage de la seigneurie de Saint-Aubin[2].
En 1576, Philippe JACOPIN fait une déclaration au censier du seigneur de Saint-Aubin à cause de Geneviève LE MIRE, sa femme[3], [4]. Il signe "Phelippe Jacopin".
Philippe JACOPIN paye censive au seigneur de Saint-Aubin entre 1575 et 1583[5].
Jean JACOPIN paye censive au seigneur de Saint-Aubin à cause de sa femme en 1570. Il paye régulièrement entre 1571 et 1585[6].
Vers 1570-1580, dans une déclaration au censier de Saint-Aubin, Jean BENOIST déclare une portion de pré en indivis avec Jean JACOPIN et Guillaume MIGOURDIN[7].
En 1575/1576 et 1582, Jean JACOPIN fait une déclaration au censier de l'Abbaye du Paraclet à Saint-Aubin[8]. Sa déclaration sera plus tard reprise par Jacques SOMILLON à cause de sa femme, et Quentin MAROT (son gendre)[9], [10].
Pierre ROUSSAT paye censive au seigneur de Saint-Aubin en 1595 et 1596 pour un quartier de terre à la vigne Trugalle acquis de Jean JACCOPIN[11].
Jean JACOPIN et Marguerite sont les parents de:
En 1688, Simon JACOPIN, Jean JACOPIN, Simon MAROT, laboureurs à La Chapelle-Godefroy, portant fort pour Louis CLEMENT, vigneron à La Chapelle-Godefroy, baillent une maison à Fontaine-Mâcon et la moitié d'une grange à partager avec Jean VERNIER[14].
En 1689, Simon MAROT, laboureur à La Chapelle-Godefroy et Marie JACOPIN, sa femme, vendent à Simon JACOPIN, vigneron audit lieu, la cinquième partie d'une maison à Fontaine-Mâcon, en commun avec Louis CLEMENT à cause de sa femme, Jean JACOPIN, Nicole JACOPIN, héritiers de feu Nicolas JACOPIN, vivant vigneron à La Chapelle-Godefroy[15].
En 1689, Louis CLEMENT, meunier du moulin de Saint-Loup-de-Buffigny vend à Simon JACOPIN, vigneron à La Chapelle-Godefroy, la cinquième partie d'une maison à Fontaine-Mâcon à cause de sa femme, la part de Nicole JACOPIN et les biens de Paquette JACOPIN, femme du vendeur, héritière de feu Nicolas JACOPIN, vivant vigneron à La Chapelle-Godefroy, son père. Anne GARSONNAT, veuve de feu Nicolas JACOPIN, est témoin[16].
En 1691, Anne GARSONNAT, veuve de Nicolas JACOPIN, vigneron à La Chapelle-Godefroy, vend à Edmé GARSONNAT et Claude REGNAULT, vignerons à Fontaine-Mâcon, la moitié d'une chambre basse dans une maison à Fontaine-Mâcon[17].
Nicolas JACOPIN et Anne GARSONNAT sont parents de:
En 1690, Simon JACOPIN, vigneron à La Chapelle-Godefroy, intervient dans deux contrats notariés[18].
En 1691, Denis LE PAGE intervient dans un contrat notarié comme curateur de la succession de Simon JACOPIN, vigneron à La Chapelle-Godefroy, avec Jean JACOPIN, laboureur à La Chapelle-Godefroy, comme tuteur des enfants mineurs de Simon JACOPIN[19].
En 1691, Jean fils de Simon JACOPIN, vigneron à La Chapelle-Godefroy, reçoit des héritiers de Jean SUINOT, lieutenant de Fontaine-Mâcon, 8 livres pour 4 mois de services rendus au feu SUINOT[20].
En 1692, Jean JACOPIN, laboureur, fils de feu Simon JACOPIN, vigneron à La Chapelle-Godefroy, est cité dans un contrat notarié[21].
× à Marie VERGEOT
En 1689, Jean JACOPIN, laboureur à La Chapelle-Godefroy, vend à Simon JACOPIN, vigneron à La Chapelle-Godefroy, la cinquième partie d'une maison à Fontaine-Mâcon, provenant de Nicolas JACOPIN, vivant vigneron à La Chapelle-Godefroy. Personne ne sait signer[22].
En 1690, Edmé ROSÉ et Simon JACOPIN, vignerons à La Chapelle-Godefroy, et Jean JACOPIN, laboureur à La Chapelle-Godefroy, passent un contrat notarié[23].
En 1691, Jean JACOPIN, laboureur à La Chapelle-Godefroy, déclare, en lieu et place de Robert JACQUES, des terres louées à Hubert GARSONNAT de Nogent/Seine. Il ne sait pas signer[24].
En 1695, Jean JACOPIN, laboureur, et Simon MAROT, vigneron à La Chapelle-Godefroy, baillent une chambre à feu[25].
En 1696, les créanciers de la succession de feu Jean JACOPIN et Marie THOMAS, laboureur à La Chapelle-Godefroy, vendent des emblaves[26].
× 14.2.1684 La Chapelle-Godefroy à Marie THOMAS, fille de Pierre T., /1684, et Anne NAUDIN