Claude GUENARD paye censive au seigneur de Saint-Aubin entre 1511 et 1520. Il paye en 1511 et 1513 pour trois quarts et Jean MERCIER de Nogent/Seine pour un quart des terres qui furent à Claudine COURTOISE. Il paye encore en 1519 pour sa part des terres de Claudine COURTOISE. Les héritiers de feu Claude GUENARD payent entre 1526 et 1529, Claude GUENARD paye pour eux en 1528 et Mathieu fils de Claude GUENARD en 1529[1].
Il est sans doute le Claude GUENARD, cité avec Nicolas GUENARD, Maître sergent des Eaux-et-Forêts, dans un témoignage de la fin de XVIème siècle[2].
Claude GUENARD est le père de:
Claude GUENARD paye censive au seigneur de Saint-Aubin en 1527 et 1528. En 1528, il paye pour deux parts sur cinq des terres du moulin, et pour les héritiers de feu Claude GUENARD[3].
Dans plusieurs censiers de Saint-Aubin établis pour l'Abbaye du Paraclet entre 1530 et 1531, Claude GUENARD déclare un moulin[4].
En 1536, Claude GUENARD de Nogent/Seine, comparaît dans une audition de témoins[5].
En 1543, Claude GUENARD, marchand à Nogent/Seine, vend une rente[6].
En 1543, Mathias GUENARD, Maître des Eaux-et-Forêts de Nogent/Seine passe une reconnaissance pour des terres prises en bail de l'Abbaye du Paraclet en 1540[7], [8].
En 1548, dans un témoignage, il est fait mention de terres appartenant à Mathias GUENARD et Liénard CHEVEUX[9].
En 1574, dans une procédure il est fait mention du droit de rente d'un demi-arpent de vigne et un demi-arpent de terre à Pothière, que payait feu Mathias GUENARD, sergent des Eaux-et-Forêts de Nogent/Seine[10].