Saint-Aubin

[1] Le 18.8.1655, Claude GALLION, demeurant à Saint-Aubin, et Gillette LEFEVRE, sa femme, prennent le bail de la terre de Saint-Aubin [AD 10 - E* 2888]

[2] Le 21.1.1656, Jean FROU, meunier du moulin du Paraclet prend de Maître Claude GALLION, receveur de la terre et seigneurie de Saint-Aubin, le bail du moulin à eau banal [AD 10 - 2E 66/15]

[3] Le 30.10.1658, sentence du bailliage de Nogent/Seine rendue entre Mesdames du Paraclet et:

Jean FONTAINE l'aîné, demeurant à Saint-Aubin, défendeur originaire

Claude GALLION, receveur de la terre et seigneurie de Saint-Aubin, demandeur originaire

à propos des droits de lods et ventes dus par FONTAINE [AD 10 - 24 H 66]

[4] Le 20.1.1659, Claude DESQUAINS, vigneron demeurant à Saint-Aubin, et Martine MEROSSE, sa femme, vendent à Maître Claude GALLION, receveur de la terre et seigneurie de Saint-Aubin, un quartier et demi de terre. L'acte est signé "Gallion" avec paraphe et "Claude Desquains" [AD 10 - 2E 66/16]

[5] Le 9.10.1677, Claude GALLION, fermier de Saint-Aubin, et Gillette LEFEBURE, sa femme, prennent le bail de la terre de Saint-Aubin [AD 10 - E* 2888]

[6] Le 10.9.1677, saisie de bestiaux sur Claude GALLION, marchand, admodiateur de la terre et seigneurie de Saint-Aubin [AD 10 - E* 2888]

[7] En 1677, Claude QUINCON, meunier de Saint-Aubin, époux de Françoise ROYER, retient à titre de loyer de Maître Claude GALLION, receveur de la terre et seigneurie de Saint-Aubin, un moulin banal à eau et propre à faire farine [AD 10 - E* 2863]

[8] Le 28.8.1689, Léonard GOMY et Léonard TALLEBOT, qui ne savent pas signer, maçons du pays de la Haute Marche, s'obligent envers Claude GALLION, maître chirurgien demeurant à Saint-Aubin, pour lui faire construire 4 chambres au foulon de Saint-Aubin, proche le pont. Il signe "Gallion" avec paraphe [AD 10 - 2 E 66/30]

[9] Le 3.3.1688, Honorable Homme Jacques GALLION, marchand tailleur d'habits à Saint-Aubin, vend à Edmé et Claude BEIGNOT, frères, marchands à Nogent, 57 sols 6 deniers d'une rente foncière dûe par Marie SIMON, veuve de Nicolas MOZARD, et à présent femme de Jacques BON, demeurant à Saint-Aubin, par contrat du 15.4.1686. L'acte est signé "J Gallion" et "C Beignot" [AD 10 - 2 E 66/29]

[10] Le 5.10.1688, contrat de mariage entre Claude GALLION, maître chirurgien à Saint-Aubin et Catherine BARDY, fille de feu Maître François B., procureur en la justice de Chalautre la Grande et Catherine CANAS (plus tard intitulée veuve de Claude GALLION, receveur de la terre et seigneurie de Saint-Aubin et veuve de Claude MASSEY, vigneron à Saint-Aubin [AD 10 - E* 2865]

[11] En 1708, Charles FEUILLAT l'aîné, vigneron demeurant à Quincey, qui signe, faisant fort pour Gabriel FEUILLAT son fils qui ratifiera après son mariage, prend des religieuses du Paraclet le bail d'une pièce delaissée depuis longtemps par Jacquette BAILLET, veuve de Claude GALLION le jeune, laquelle BAILLET est en démence, et d'une pièce délaissée depuis longtemps par les héritiers de Jean BOSSUOT, laboureur à Quincey, procédant d'Antoine BOSSUOT son père [AD 10 - 24 H 58]