Saint-Aubin

DUREAU[1]


A. Guillaume
, laboureur, demeurant au moulin de la Villette, ! en 1518-1533

En 1512, Guillaume DUREAU, qui demeure au moulin du Paraclet, prend pour 6 ans le bail du moulin[2].

Guillaume DUREAU paye régulièrement sa contribution au censier du seigneur de Saint-Aubin entre 1518 et 1533. En 1518, il paye pour deux parts de la vigne qui fut à feu Jean HUCHER et en 1526 pour sa part de la vigne qu'il a achetée de Jean HUCHER[3].

En 1521, dans un témoignage, Jean DE VIGNES cite Guillaume DUREAU et d'autres pour l'usage qu'ils ont fait de la garenne de Pont/Seine, 6 ans auparavant[4].

Dans plusieurs censiers de Saint-Aubin établis pour l'Abbaye du Paraclet entre 1530 et 1532, Guillaume DUREAU déclare 1 arpent 1/2 de vigne au Houssoy, en commun avec Ambroise SIMON, Jean DE VIGNES et la veuve de Thévenin DU CLOS[5], [6]. Il s'agit sans doute de la portion de vigne achetée à Jean HUCHER.

En 1532, Guillaume DUREAU, laboureur, prend le fermage pour 9 ans du moulin de la Villette dont il était auparavant fermier, et où il demeure[7].


B. Hector, ! en 1618-1619, † /1645, × à Jeanne MENARDE

En 1618, Hector DUREAU et deux autres manouvriers et bûcherons à Saint-Aubin, prennent du seigneur de Saint-Aubin, la dépouille d'un bois. Hector DUREAU ne sait pas signer[8].

En 1619, Hector DUREAU est cité dans un acte avec d'autres habitants de Quincey[9].

Hector DUREAU et Jeanne MENARDE sont les parents de:


B.1. Jean, × 9.7.1646 à Noëlle VOICTERIN, fille de Nicolas V.


C. Guillaume
, laboureur à Quincey, ! en 1611-1621, † /1631, × à Jeanne GRILLART ou GAILLARD

Guillaume DUREAU pourraît être le fils de Guillaume, cité parrain à Ferreux en 1585[10].

En 1611, Guillaume DUREAU, laboureur à Quincey, prend de l'Abbaye du Paraclet le bail de terres[11].

En 1620-1621, Guillaume DUREAU, laboureur à Quincey, déclare au censier de Quincey 1 quartier et demi de terre à partager avec Martine BOURGEONNE. Jean DUREAU, déclare un échange avec Guillaume DUREAU[12].

En 1643, la veuve de Guillaume DUREAU comparaît avec d'autres habitants de Quincey dans un acte des eaux-et-forêts[13].

Jeanne GAILLARD, veuve de Guillaume DUREAU paye sa contribution au censier de Quincey de 1646 à 1652.

en 1653 Maître Jean DUREAU et Charles BALLIGAULT payent pour chacun 1/4 et la veuve paye par les mains de Martin DUREAU

en 1652 et 1653, Maître Jean DUREAU paye pour son quart et celui de feu Philippe DUREAU

en 1654, Charles BALLIGAULT paye pour un tiers d'un demi[14].

Un Guillaume DUREAU dit Piedbot paye sa contribution au censier de Quincey en 1646, puis sa veuve de 1647 à 1654[15]. Elle paye aussi de 1647 à 1649 la déclaration de Claude CHARPENTIER, charron, que Martin DUREAU reprend en 1652[16].

Guillaume DUREAU et Jeanne GRILLAT ou GAILLART sont les parents:

Dans un témoignage recueilli en 1662, est cité Martin DUREAU, laboureur à Quincey, pour chasse dans les garennes[17].

Maître Philippe DUREAU paye la déclaration de Nicolas DUPOING au censier de Quincey en 1650. Jean DUREAU paye pour son frère feu Philippe DUREAU en 1652 et 1653[18].


C.1. Jean, Maître, ne sait pas signer puis signe: J Dureau, lieutenant en la justice de Saint-Aubin, Maire en la justice de Quincey, procureur en la justice de Saint-Aubin, huissier au grenier à sel de Nogent/Seine, ! en 1643-1650, cm 25.11.1634[19] à Charlotte GARNIER, fille de Jérôme G.[20], laboureur à Quincey, † /1634, et Jeanne CHARPILAINE

En 1643, Jean DUREAU comparaît avec d'autres habitants de Quincey dans un acte des eaux-et-forêts[21].

En 1650, Maître Jean DUREAU, maire en la justice de Quincey, demeurant à Saint-Aubin, prend avec deux autres habitants de Quincey de l'Abbaye du Paraclet, le bail des gros dîmes de Saint-Aubin[22].

×(2) 9.7.1640[23] à Nicole PILAVOINE, (†) 19.1.1645 en l'église, devant l'autel Notre Dame, fille de Hilaire P., maître serrurier en la ville de Nogent/Seine, † /1667, et Marie AYMERY

En 1667, Charles DUREAU, marchand drapier à Nogent/Seine, & acirc;gé de 24 ans et plus, fils de Jean DUREAU, huissier au grenier à sel de Nogent/Seine, et Nicole PILLAVOINE, elle-même héritière de feu Hilaire PILLAVOINE, serrurier à Nogent/Seine, et Marie AYMERY, aïeul et aïeule dudit Charles, vend un sixième de maison à Nogent/Seine. Charles DUREAU est promis par mariage à Claude COURCIER, fille de feu Laurent. Il signe "Charle Dureau" avec paraphe[24].

×(3) dernier 4.1646[25] à Honnête Barbe LE FEUBRE, signe: Barbe Le Feubre, † & (†) 8.3.1652, fille de Noble Etienne L., procureur du roi au bailliage de Nogent/Seine, † /1646, et Honnête Catherine GUYON, † /1646


D. Nicolas