Les héritiers de Jean BOURJONNE font une déclaration au censier de Saint-Aubin de 1488[2].
Jean BOURJONNE est le père de:
En 1499, Jean BOURJONNE, manouvrier à Saint-Aubin, prend de l'Abbaye du Paraclet le bail des grands dîmes de blé de Saint-Aubin[3]. Son fils Jean et Colin DUCLOS le jeune se portent caution.
Jean BOURJONNE paye régulièrement sa contribution au censier du seigneur de Saint-Aubin entre 1491 et 1505[4]. Il déclare entre autre, en 1491 et 1496, la moitié d'un verger dont l'autre moitié appartient à Jean DE VIGNE.
En 1500, Jean BOURJONNE l'aîné est témoin dans une procédure opposant l'Abbaye du Paraclet aux seigneurs de Nogent/Seine à propos des droits de pâture à Saint-Aubin et Quincey[5].
Jean BOURJONNE l'aîné est le père de:
Dans plusieurs censiers de l'Abbaye du Paraclet à Saint-Aubin établis entre 1530 et 1532, Jean BOURJONNE déclare un quartier de terre[6], [7], [8]. Il est parfois cité avec Denis MAROTTE[9].
Jean BOURJONNE le jeune paye régulièrement sa contribution au censier du seigneur de Saint-Aubin entre 1499 et 1513. Il déclare entre autre une maison acquise de TRUGALLE et une vigne. Jean BOURJONNE paye entre 1517 et 1533[10].
Dans deux enquêtes de 1535, Jean BOURJONNE, demeurant à Saint-Aubin, comparaît comme témoin[11], [12]. Jean BOURJONNE apparaît encore dans une audition de témoins en 1536[13], [14].
Jean BOURJONNE paye censive à l'Abbaye du Paraclet entre 1535 et 1538[15].
En 1539, Laurent NUGAULT prend la cause de Jean BOURJONNE dans une procédure de contestation au sujet du droit de chasse dans les garennes de Pont[16].
Jean BOURJONNE est encore cité en 1541 dans une liste des habitants de Saint-Aubin[17].
Fin 1541, Jean BOURJONNE comparaît comme témoin pour les seigneurs de Saint-Aubin. Il se dit laboureur à Saint-Aubin et âgé d'environ 72 ans. Il serait donc né vers 1469[18], [19].
Jean BOURJONNE est le père de:
Messire Guillaume BOUJONNE paye régulièrement sa contribution au censier de Saint-Aubin entre 1526 et 1533. En 1529, il est dit fils de Jean BOURJONNE[20].
Dans plusieurs censiers de l'Abbaye du Paraclet à Saint-Aubin établis entre 1530 et 1532, Messire Guillaume BOURJONNE déclare un accin rue aux Rasles. Il est parfois cité avec les héritiers de Simon GILLES[21]. Les biens qu'il déclarent seront plus tard repris par Martin BENOIST et François ou Anne MEROSSE[22], [23].
En 1568, c'est Michel DESPENCIER, oncle de Martin BENOIST, qui est cité héritier de Jean BOURJONNE[24].
Etienne BOURJONNE, demeurant à Quincey, est plusieurs fois cité témoin en 1535[25], [26].
En 1523, Nicolas BOURGOING, meunier au Paraclet, prend de l'Abbaye du Paraclet le bail pour 19 ans de 3 quartiers de pré[27].
En 1523, Nicolas BOURGOING, meunier de Saint-Aubin prend de l'Abbaye du Paraclet le bail pour 18 ans d'une maison à La Chaume. En 1539, il renouvelle le bail pour 19 ans[28].
Il est sans doute le Col BOURGOING qui déclare en 1530 une maison au censier de l'Abbaye du Paraclet[29].
En 1542, Nicolas BOURGOING, meunier à La Chaulme, et Guillemette sa femme, prennent de l'Abbaye du Paraclet le bail d'un arpent de pré pour 19 ans[30].
En 1656, Claude BOURGOING, manouvrier à la Chapelle-Godefroy, prend le bail de 6 quartiers de terre à Marnay/Seine et la Chapelle-Godefroy[31].
Claude BOURGOING et Jeanne MOREAU sont les parents de: