Saint-Aubin

BOUDIER


A. Jean, Honorable Homme, signe: J Boudier, laboureur à Fontaine-Mâcon, de Bouy, ! en 1653-1656, † 10.8.1690 Fontaine-Mâcon, (†) le 11 à l'église, × /1639 à Edmée LEROUX alias VERNIER, † 11.3.1690 Fontaine-Mâcon, (†) le 12, ×(1) à Laurent VERNIER, peut-être fille de Nicolas L.[1]

En 1653, Jean BOUDIER, laboureur à Fontaine-Mâcon, prend de l'Abbaye du Paraclet le bail de 160 arpents de terre aux Mergers[2].

En 1656, Edmé BOUDIER, laboureur à Trancault, est cité héritier à cause de sa femme d'une rente de Laurent VERNIER, laboureur du Clos de Scellière, et Edmée LEROUX, son épouse en premières noces et femme d'Edmé BOUDIER[3].

Il pourraît être le Jean BOUDIER, cité oncle en 1662 au mariage d'une fille de Pierre BOUDIER[4]. Il serait donc le frère de Pierre et Christophe BOUDIER, tous fils de Richard BOUDIER.

En 1669, Jean BOUDIER, receveur du revenu temporel de La Madelaine de Trainel, baille un quartier de vigne[5].

Jean BOUDIER et Edmée VERNIER sont les parents de:

En 1693, Christophe BOUDIER, laboureur à Froideparoy, héritier de Jean BOUDIER et Edmée VERNIER, ses père et mère, déclare posséder la moitié d'une grange à Fontaine-Mâcon. Il signe "Christof Boudier" avec paraphe[6].


A.1. Edmé, signe: E Boudier avec paraphe, Maître, procureur fiscal de la justice de Fontaine-Mâcon, substitut de Monsieur le procureur du roi à Nogent/Seine, ! en 1682, cm 25.11.1675[7] à Edmée HERLUISON, † /1698, fille de Pierre H., †/1675

En 1681, Maître Edmé BOUDIER, substitut de Monsieur le procureur du roi au bailliage de Nogent/Seine en la mairie royale de Fontaine-Mâcon, y demeurant, achète aux héritiers GAMBIER le quart d'une maison à Mâcon. Il signe "E Boudier" avec paraphe[8]. En 1682, Edmé BOUDIER et les héritiers GAMBIER interviennent pour le partage de la succession[9].

En 1682, Maître Edmé BOUDIER, substitut de Monsieur le procureur du roi au bailliage de Nogent/Seine en la Mairie royale de Fontaine-Mâcon, passe un accord avec François DANGLURE blessé à la main par ledit BOUDIER d'un coup d'épée, ledit DANGLURE, qu'il avait blessé suite à plusieurs provocations. Il signe "E Boudier" avec paraphe[10].

En 1688, Edmé BOUDIER achète la troisième partie et un quart, les douze faisant le tout, d'une maison à Mâcon[11].

En 1688, Maître Edmé BOUDIER, substitut en la mairie royale de Fontaine-Mâcon, intervient avec d'autres pour une rente due par la succession de feu Laurent GUICHARD et Catherine LE ROUX, sur une maison à Fontaine-Mâcon. Il signe "E Boudier"[12].

En 1688, Maître Edmé BOUDIER, substitut de Monsieur le procureur du roi en la justice de Fontaine-Mâcon, y demeurant, et Honnête Femme Edmée HERLUISON sa femme, interviennent dans un contrat. Il signe "E Boudier" avec paraphe[13].

La descendance d'Edmé BOUDIER et Edmée HERLUISON est connue grâce à un acte de partage de leur succession de 1715[14].

Edmé BOUDIER et Edmée HERLUISON sont les parents de: