En 1575, Lupien BOSSUOT, laboureur à La Fosse, prend de l'Abbaye du Paraclet, le bail pour 6 ans du moulin du Paraclet. Il signe "Lupien Bossuot" avec paraphe[1].
× /1582 à Jeanne
Jean BOSSUOT apparaît pour la première fois dans une déclaration au censier de Saint-Aubin en 1593[2].
Jean BOSSUOT paye sa contribution au censier du seigneur de Saint-Aubin en 1611[3], et entre 1612 et 1623, pour sa maison à Cormont[4].
Le nom de Jean BOSSUOT est encore cité en 1638 pour une vigne plus tard reprise par Fiacre CAILLÉ, Jacques BAILLET et Jean FONTAINE le jeune[5]. Les deux premiers sont gendres de Jean BOSSUOT.
Jean BOSSUOT est cité pour avoir repris des propriétés déclarées en 1532 au censier de l'Abbaye du Paraclet à Saint-Aubin:
par les héritiers d'Aubin CHOISAT, à savoir la Gauthière et la Vernière Julienne[6]
par Jeanne CHEVALIERE[7]
par Jean SYMON[8]
par Ambroise SYMON, Jean BROCART l'aîné et Laurent GILLES[9]
par les héritiers de Jacquin MERLIN[10], [11]
Jean BOSSUOT reprend la maison et terre de feu Alexis MERLIN, déclarée au censier de l'Abbaye du Paraclet en 1582 par Martin TROTIN et Xpofle MERLIN[12].
La veuve de Jean BOSSUOT paye sa contribution au censier de Quincey entre 1652 et 1654[13]. Elle ne semble donc pas être la Jeanne MERLIN qui est inhumée à Saint-Aubin le 7.5.1652[14].
× /1610 à Jeanne MERLIN, fille de Christophore M.
Antoine BOSSUOT est d'abord cité parrain dans un acte de baptême à Quincey en 1632[15].
En 1638, Antoine BOSSUOT déclare au censier de l'Abbaye du Paraclet une vigne provenant de Jean GRILLARD[16].
En 1642, Antoine BOSSUOT déclare sa maison au censier du seigneur de Saint-Aubin[17].
Antoine BOSSUOT comparaît comme témoin en 1643[18] et 1644[19] dans des enquêtes menées par l'administration des eaux-et-forêts de Nogent/Seine.
Antoine BOSSUOT paye censive à Quincey de 1648 à 1651 à cause de sa femme, héritière de Claude CAILLÉ. Il paye avec Jean CAILLÉ (son beau-frère) en 1650. La veuve d'Antoine BOSSUOT paye en 1652, puis Laurent MASSEY, époux de la veuve, en 1653 et 1654[20].
Antoine BOSSUOT a épousé Françoise CAILLÉ, fille de Claude C., d'où sont nés:
En 1688, Marie BENOIST, femme de Jean BOSSUOT, laboureur à Quincey, malade, déclare des biens venant d'Antoine BOSSUOT, père de son mari[22], [23].
La veuve et les enfants de Jean BOSSUOT déclarent 7 arpents, 10 cordes et demie de terre au censier du seigneur de Saint-Aubin[24].
Dans le censier de l'Abbaye du Paraclet de 1708, un particulier reprend le bail une pièce délaissée depuis longtemps par les héritiers de Jean BOSSUOT, laboureur à Quincey, procédant d'Antoine BOSSUOT son père[25].
Jean BOSSUOT et Marie BENOIST sont les parents de:
En 1708, Jean BOSSUOT, sabotier à Quincey, héritier de Jean BOSSUOT, laboureur à Quincey, vend des terres à Saint-Aubin. Il ne sait pas signer[26].
Jean BOSSUOT et Marie DIRESNE sont les parents de:
En 1609, Claude BOSSUOT fait une déclaration au censier du seigneur de Saint-Aubin. Il signe "Claude Bousuot" avec paraphe[27].
Claude BOSSUOT paye sa contribution au censier du seigneur de Saint-Aubin entre 1610 et 1619, puis sa veuve entre 1620 et 1623. En 1610, il paye comme hériter de Nicolas CHARRETIER[28], [29].
En 1688, Nicolas BOSSUOT, vigneron à Saint-Aubin, céde à un particulier le bail à rente perpétuelle d'un quartier de vigne à Pothière. Il ne sait pas signer[31].
Nicolas BOSSUOT et Michelle ADAM sont les parents de: