Saint-Aubin

BARDY

Cette famille a été fondée à Saint-Aubin par Jean BARDY. Toutefois, un Nicolas BARDY est inhumé à Saint-Aubin en 1648[1].


A. Jean, Maître, Honorable Homme, procureur et receveur de l'Abbaye du Paraclet, fermier et receveur de l'Abbaye de Chantermerle demeurant à Pont/Seine, admodiateur de la terre de Chantemerle, entremeteur des affaires du Paraclet, laboureur, ! en 1619-1641, (†) 17.12.1641, "n'a point fait de testament, ayant été malade en son lict", (†) en l'église, proche l'autel Notre Dame, × à Honnête Marie DE FLAIR, signe: M De Fler, ! en 1642-1647, † & (†) 6.5.1652 en la chapelle Nostre Dame, fille de François D. F. et Barbe BEAUMONT

Dans une procédure relative au droits de chasse à Quincey, Jean BARDY intervient en 1619 comme serviteur domestique des Abbesses du Paraclet[2], [3], [4].

En 1619, Jean BARDY, receveur et procureur des abbesses, Jean BARDY est emprisonné après une altercation avec François BELOT, seigneur de Quincey[5].

En 1622, Maître Jean BARDY intervient comme procureur et receveur général des religieuses du Paraclet[6].

En 1623, Jean BARDY, qui demeure au Paraclet, prend un bail[7].

En 1625, Jean BARDY intervient comme entremeteur des affaires de l'Abbaye du Paraclet[8].

En 1626, Jean BARDY est dit laboureur et propriétaire d'un moulin à foulon sur la rivière d'Arduisson[9].

En 1627, Jean BARDY intervient comme receveur de l'Abbaye du Paraclet[10].

En 1628, Jean BARDY, entremetteur des affaires du Paraclet, achète une dette de plus de 320 livres due par la succession de Martin GUICHARD, laboureur à Fontaine-Macon[11].

En 1629, Maître Jean BARDY, demeurant à Quincey, achète deux arpents de terre à Avant-lès-Marcilly. Il signe "J Bardy" avec paraphe[12].

En 1630, Jean BARDY, receveur des Dames du Paraclet, demeurant à Quincey, achète deux grands septiers d'avoine[13].

En 1631, Jean BARDY est procureur de l'Abbaye du Paraclet. Il demeure à Quiney[14].

En 1631, Maître Jean BARDY, receveur de l'Abbaye de Chantemerle, demeurant à Quincey, déclare des terres à Saint-Aubin[15].

Entre 1629 et 1631, Jean BARDY est cité propriétaire de la moitié d'un moulin à foulon et huile à Quincey[16], [17], [18].

En 1637, Jean BARDY est fermier et receveur de l'Abbaye de Chantemerle, et il demeure à Pont/Seine[19], [20].

En 1638, Maître Jean BARDY déclare une vigne au censier de l'Abbaye du Paraclet à Saint-Aubin[21].

En 1641, Jean BARDY, marchand à Saint-Aubin, passe un accord pour terminer un procès à propos de l'admodiation de la terre et seigneurie de Vignaux. Il signe "J Bardy" avec paraphe[22].

Jean BARDY possédait des biens à Quincey car son nom est cité dans le censier de 1646-1654[23].

Jean BARDY a épousé Marie DE FLER. Veuve, elle intervient en 1642[24], [25] et 1643[26].

La descendance de Jean BARDY et Marie DE FLER est connue par de nombreux documents concernant leur succession, et en particulier un bail emphytéotique[27], où apparaissent leurs enfants et petit-enfants[28], [29], [30], [31], [32].

En 1655, François BARDY, greffier en la Mairie de Saint-Aubin, est témoin lors de l'arpentage de la seigneurie de Saint-Aubin[35].

En 1658, Maître François BARDY, greffier en la Mairie de Saint-Aubin, vend une rente foncière sur une maison à Quincey, échus par le partage de la succession de Maître Jean BARDY et Marie DE FLAIR[36].

Entre 1683 et 1685, Catherine CANAS, veuve en premières noces de Maître François BARDY, et en dernières noces d'Honorable Homme Sulpice LE CLERC, demeurant à Périgny, tutrice de Catherine BARDY sa fille, intervient pour son moulin à foulon[37].