C'est une ancienne famille de Saint-Aubin dont le premier représentant est Jean ANCEAU, cité dès 1504 et mort entre 1529 et 1530.
La plupart des familles ANCEAU qui habitèrent Saint-Aubin par la suite descendent de l'un des deux chefs de familles vivant au début du XVIIème siècle, Aubin à Quincey et Nicolas l'aîné à Saint-Aubin. A noter que Aubin semble être le premier représentant de la famille ANCEAU à Quincey, il est probablement lui aussi originaire de Saint-Aubin où trois de ses fils feront souche.
Il existe d'autres membres de la famille ANCEAU dans la région. A Nogent/Seine:
Pierre ANCEAU, × à Marie, d'où Joseph, b 1.7.1576
Nicolas, fils de Pierre ANCEAU, × 4.8.1579 à Barbe, fille de Edmé POTIER, d'où Geneviève, b 22.8.1580 Nogent/Seine
Jean ANCEAU paye régulièrement sa contribution au censier du seigneur de Saint-Aubin entre 1504 et 1529. Il est le plus souvent associé à Pierre GIRARD, sa veuve puis ses héritiers[1].
Dans plusieurs censiers de Saint-Aubin établis entre 1530 et 1532 pour l'Abbaye du Paraclet, Jean ANCEAU le jeune[2] puis les héritiers de Jean ANCEAU déclarent un quartier de vigne au Houssoy acquis de Martin DOURY. Martin MIGOURDIN et Jean TROTIN sont les tuteurs des enfants mineurs de Jean ANCEAU[3], [4]. En 1535 et 1536, Martin MIGOURDIN paye la contribution des héritiers de Jean ANCEAU au censier de l'Abbaye du Paraclet[5].
En 1533, dans le censier du seigneur de Saint-Aubin, Jean ANCEAU paye sa contribution avec Martin MIGOURDIN et TROTIN[6]. Ceux-ci sont certainement les tuteurs des enfants de Jean ANCEAU cités plus haut. Le nom de Jean ANCEAU est sans doute utilisé en 1533 pour ses héritiers.
Georges ANCEAU apparaît une première fois en 1542 comme témoin dans la procédure d'une contestation entre Laurent NUGAULT, seigneur de Saint-Aubin, et les religieuses du Paraclet. Il dit alors être cordonnier à Saint-Aubin et âgé de 38 ans environ (il serait donc né vers 1504). Il déclare être né à Saint-Aubin où il a toujours fait sa demeurance sinon les quelques années passées à Nogent/Seine pour y apprendre le métier de cordonnier[7].
Georges ANCEAU intervient de nouveau dans cette même procédure en 1548. Il est alors tavernier à Saint-Aubin, et sergent de la justice de Saint-Aubin. Il dit être âgé de 42 ans (il serait donc né vers 1506) et natif de Saint-Aubin[8].
En 1552, Georges ANCEAU est cité dans une enquête sur les droits de chasse et pêche à Pont/Seine[9].
En 1564, Georges ANCEAU, marchand hôtelier, est caution de Jean SOMMILLON pour le bail du moulin du Paraclet[10].
Georges ANCEAU paye régulièrement sa contribution au censier du seigneur de Saint-Aubin entre 1559 et 1567, puis sa veuve entre 1568 et 1572. Il paye à la décharge de Jean SOMMILLON en 1564[11].
Georges ANCEAU est certainement le père de:
Dans une déclaration non datée au censier du seigneur de Saint-Aubin, Guyon ANCEAU déclare deux maisons, l'une près du carcan de Saint-Aubin, l'autre rue aux Charrons. Il signe sa déclaration "G Anceau" avec paraphe[12].
Guyon ANCEAU paye régulièrement sa contribution au censier du seigneur de Saint-Aubin entre 1566 et 1572. Il paye à la décharge de Jean SOMMILLON en 1566 (comme Georges ANCEAU, son père, l'avait fait en 1564)[13].
Jean ANCEAU paye régulièrement sa contribution au censier du seigneur de Saint-Aubin entre 1568 et 1585. En 1573, il paye cens pour un quartier de terre au Champs aux Billeux, un quartier de vigne aux Garennes, la chénevière de sa mère et la maison de feu son père[14].
En 1574, Jean ANCEAU, sergent en la Mairie de Saint-Aubin, vend au seigneur de Saint-Aubin une maison et dépendances rue aux Rasles, acquise de Jacquette ANCEAU, sa sur, par échange de leurs héritages[15]. En 1576, il vend avec son épouse Martine DESQUAINS un arpent de terre au même seigneur de Saint-Aubin[16].
Jean ANCEAU paye sa contribution au censier du seigneur de Saint-Aubin entre 1593 et 1599. Il paye pour une maison en 1593. Lyé VOICTERIN paye pour Jean et Michel les ANCEAU en 1593[17].
En 1600, Jean ANCEAU, substitut du procureur fiscal de Saint-Aubin, et Jeanne SUYNOT, veuve de Michel ANCEAU, vendent 5 quartiers de terre. Son épouse, nommée ADAM, ratifie la vente[18].
Jean ANCEAU intervient comme substitut du procureur fiscal de Saint-Aubin en 1601, alors qu'il saisit une bête chargée de farine pour le compte du seigneur de Saint-A ubin[19]. Il est procureur fiscal du village en 1609[20].
Michel ANCEAU paye régulièrement sa contribution au censier du seigneur de Saint-Aubin entre 1581 et 1585, entre autre à cause de sa femme[21].
Michel ANCEAU paye encore censive au seigneur de Saint-Aubin en 1593 et 1594, puis sa veuve entre 1595 et 1612[22], [23], [24] .
De 1606 à 1610, Nicolas ANCEAU paye sa contribution au censier du seigneur de Saint-Aubin. En 1606, il déclare un demi-arpent de vigne au Pothier au lieu d'Aubin FONTAINE[25].
En 1610, Nicolas ANCEAU, manouvrier demeurant à Saint-Aubin, déclare au censier du seigneur de Saint-Aubin un arpent de terre. Il signe sa déclaration "Nicolas Anceau"[26].
Nicolas ANCEAU paye censive en 1611 au seigneur de Saint-Aubin[27].
Entre 1612 et 1623, Nicolas ANCEAU paye sa contribution au censier du seigneur de Saint-Aubin. Il déclare entre autre une maison achetée à Ambroise BARBOTIN[28]. Cette maison fait partie des maisons "à la Migourdine" qu'Ambroise BARBOTIN avait acquis vers 1606 de Jean ANCEAU. Jean et Nicolas ANCEAU pourraît être proches parents.
En 1638, Nicolas ANCEAU déclare au censier de l'Abbaye du Paraclet une vigne à Pothière[29].
En 1642, Nicolas ANCEAU paye sa contribution au censier du seigneur de Saint-Aubin[30].
Nicolas ANCEAU et Marie sont les parents de:
En 1655, Nicolas ANCEAU est condamné avec d'autres vignerons de Saint-Aubin pour n'avoir pas respecté le droit de pressurage de l'Abbaye du Paraclet[32].
En 1657, Nicolas ANCEAU déclare plusieurs biens au censier du seigneur de Saint-Aubin[33].
En 1659, Nicolas ANCEAU, vigneron demeurant à Saint-Aubin, et Marguerite MAISTRE, sa femme, constituent un rente à Charles HEDRY sur maison à 2 chas couverte de paille à Saint-Aubin[34].
Nicolas ANCEAU, vigneron à Saint-Aubin, est mort avant 1668; à cette date, sa veuve intervient dans une déclaration. Elle ne sait pas signer[35].
Nicolas ANCEAU et Jeanne MAISTRE sont les parents de:
En 1688, Nicolas ANCEAU, vigneron à Saint-Aubin, déclare plusieurs héritages au censier de Saint-Aubin pour l'Abbaye du Paraclet, entre autre venant de Marie ANCEAU (sa sur) et de son père Nicolas ANCEAU[36].
En 1688, Nicolas ANCEAU, vigneron à Saint-Aubin, déclare des vignes à Saint-Aubin. Il ne sait pas signer[37].
En 1690, Nicolas ANCEAU, vigneron à Saint-Aubin, prend de Jacques VAILLANT (son beau-frère) le bail de 4 arpents de terre. Il ne sait pas signer[38].
En 1693, Nicolas ANCEAU, vigneron à Saint-Aubin, vend la moitié d'une pièce de vigne à Simon PRUDHON. Il ne sait pas signer[39].
En 1695, Nicolas ANCEAU fait une déclaration au censier du seigneur de Saint-Aubin[40].
En 1695, Nicolas ANCEAU, vigneron à Saint-Aubin, et Jeanne FONTAINE, sa femme, vendent des terres à Saint-Aubin à Jean MAISTRE. Il ne sait pas signer[41].
En 1701, Nicolas ANCEAU, vigneron à Saint-Aubin, achète un demi-arpent de vigne à Saint-Aubin à Jacques VAILLANT (son beau-frère). Il ne sait pas signer[42].
Nicolas ANCEAU et Jacques VAILLANT, héritiers de Nicolas ANCEAU, leur père et beau-père, font plusieurs déclarations au censier de Saint-Aubin de 1703[43].
Nicolas ANCEAU et Jeanne FONTAINE sont les parents de cinq enfants dont quatre ont survécu et se partageront en 1714 l'héritage de leur parents: Edmée, Jeanne, Nicolas et Etiennette[44].
En 1708, Nicolas ANCEAU, vigneron demeurant à Saint-Aubin, prend de l'Abbaye du Paraclet le bail d'une pièce de terre. Il ne sait pas signer[45].
Nicolas ANCEAU et Geneviève ROZÉ sont les parents de:
En 1620-1621, Aubin ANCEAU, manouvrier, fait une déclaration au terrier de Quincey. Il possède entre autre une maison, une masure, et plusieurs héritages partagés en indivis avec Jean LARIBBE dit Lazare[47].
En 1623, une procédure est entamée par l'Abbaye du Paraclet contre Aubin ANCEAU et d'autres habitants de Quincey[48].
En 1626, Aubin ANCEAU est témoin lors d'une déclaration des habitants de Quincey[49].
En 1642, Aubin ANCEAU, manouvrier à Quincey, et Etiennette COLLERON, sa femme, prennent le bail perpétuel d'une maison à 3 chas avec étable à Quincey, où il y avait auparavant un foulon à drap et huile[50].
En 1643, Aubin ANCEAU comparaît avec d'autres habitants de Quincey dans une enquête des eaux-et-forêts à Quincey[51].
En 1643, dans une autre enquête, Aubin ANCEAU comparaît avec ses enfants parmi d'autres bûcherons de Quincey[52].
En 1644, Aubin ANCEAU, manouvrier, est témoin dans une enquête. Il répond aussi pour ses fils Jérôme et Edme[53].
Aubin ANCEAU contribue au censier de Quincey entre 1646 et 1654[54].
En 1655, Aubin ANCEAU est cité avec d'autres bûcherons de Quincey pour la recette des coupes de bois[55].
En 1655, Aubin ANCEAU est cité oncle de Marc LARIBLE, fils d'Ambroise et d'Anne[56].
La descendance d'Aubin ANCEAU est établie grâce à un acte daté de 1706, concernant la succession d'un arpent de pré acheté en 1642 par Aubin ANCEAU[57].
Aubin ANCEAU et Etiennette COLLERON sont les parents de:
En 1642, Léonard ANCEAU déclare au censier du seigneur de Saint-Aubin une masure acquise de Nicolas ANCEAU[63].
En 1650[64], 1662[65], 1667[66] et 1678, Léonard ANCEAU, manouvrier puis vigneron à Saint-Aubin, prend avec d'autres de l'Abbaye du Paraclet le bail des gros dîmes de grains de Saint-Aubin. Il ne sait pas signer.
En 1657, Léonard ANCEAU déclare 3 arpents de terre au censier du seigneur de Saint-Aubin[67].
En 1663, Léonard ANCEAU, vigneron à Saint-Aubin, prend de l'Abbaye du Paraclet, le bail perpétuel d'une terre qu'il promet de planter en vigne[68].
En 1678, Léonard ANCEAU, vigneron à Saint-Aubin, achète du bois avec son fils Michel ANCEAU son fils, Jérôme ANCEAU et d'autres[69].
En 1684, Léonard ANCEAU est témoin avec d'autres vignerons et bûcherons de Saint-Aubin pour une enquê te au sujet d'un conflit sur le bois de Marnay/Seine[70].
Léonard ANCEAU et Louise MAISTRE sont les parents de:
En 1678, Maître Michel ANCEAU, contrôleur d'exploit à Saint-Aubin, prend avec Léonard et Jérôme ANCEAU, frères, vignerons demeurant à Quincey, de l'Abbaye du Paraclet le bail les dîmes des gros et menus grains de la paroisse de Quincey[73].
En 1695, Michel ANCEAU, tailleur, déclare 6 arpents et 53 cordes de terre au censier du seigneur de Saint-Aubin[74].
En 1698, Michel ANCEAU, greffier de la justice de Saint-Aubin, prend avec d'autres de l'Abbaye du Paraclet, le bail pour 9 ans des dîmes de Saint-Aubin[75].
En 1703, Jean ANCEAU, manouvrier à Quincey, déclare au censier de l'Abbaye du Paraclet à Saint-Aubin une rétrocession de Michel ANCEAU et de la veuve de Jean ANCEAU[76].
Michel ANCEAU et Martine GUEUX sont les parents de:
Aubin ANCEAU le jeune est cité en 1647 dans le censier de Quincey pour un achat[77]. Sa veuve Jeanne ROSÉ est citée dans le même censier en 1648 et 1649[78], puis son second mari à partir de 1650[79].
Aubin ANCEAU le jeune et Jeanne ROSÉ sont les parents de:
Dans le censier de Quincey, Edmé THOMAS paye sa contribution en 1651. Blaise THOMAS (son beau-père° paye jusqu'en 1654[82].
En 1661, Anne THOMAS, veuve d'Edme ANCEAU, manouvrier à Quincey, vend des vignes à Quincey. Elle ne sait pas signer[83].
Edme ANCEAU et Anne THOMAS sont les parents de:
Vers 1657, Jérôme ANCEAU déclare 1 arpent 67 cordes de terre au censier du seigneur de Saint-Aubin[85].
En 1688, Jérôme ANCEAU de Quincey, déclare au censier de l'Abbaye du Paraclet des héritages provenant de Marie ROSÉ, fille de Claude ROSÉ. Il ne sait pas signer[86].
En 1689, Jérôme ANCEAU, vigneron à Quincey, rétrocède à Jean ANCEAU, son fils, vigneron à Saint-Aubin, une maison à Saint-Aubin. Ils ne savent pas signer[87].
En 1694, Jérôme ANCEAU, manouvrier à Corquelain, "considerant son viel age et caducité qui l'empeche de vaquer a ses affaires", fait une donation à Léonard ANCEAU, laboureur à Corquelain. Ils ne savent pas signer[88].
Jérôme ANCEAU et Marie ROSÉ sont les parents de:
En 1694, Jean ANCEAU, vigneron à Saint-Aubin, prend avec d'autres le bail de terre à Saint-Aubin[89].
En 1695, Jean ANCEAU, vigneron, déclare 1 arpent et 78 cordes de terre au censier du seigneur de Saint-Aubin[90].
Jean ANCEAU et Marguerite GAUCHER sont les parents de:
En 1704, Jean ANCEAU, vigneron à Quincey, déclare au censier de l'Abbaye du Paraclet une maison rue de Cormont à Saint-Aubin. Il ne sait pas signer[91].
En 1686 et 1699, Léonard ANCEAU, laboureur à Saint-Aubin, prend avec d'autres le bail du droit de chasse aux lapins dans les garennes[92]. En 1706, Marie GALLET, veuve de Léonard ANCEAU, fermier en partie de la terre de La Chapelle-Godefroy, tutrice de leurs enfants, rétrocède le bail[93], [94].
En 1691, Léonard ANCEAU le jeune, laboureur à Corquelain, partage avec Michel HEDRY des chevaux et charrette qu'ils avaient en commun. Il ne sait pas signer[95].
En 1692, Léonard ANCEAU, laboureur à Corquelain, achète à Claude GALLET (son beau-frère) sa part dans une maison à Quincey. Il ne sait pas signer[96]. En 1694, Léonard ANCEAU et Claude GALLET interviennent dans un autre contrat[97].
En 1693, Léonard ANCEAU, laboureur à Corquelain donne en bail une vigne à Quincey. Il ne sait pas signer[98].
En 1694, Léonard ANCEAU, laboureur à Corquelain, prend le bail de la coupe d'un bois à La Chapelle-Godefroy[99].
En 1694, Léonard ANCEAU, laboureur à Corquelain, reprend un bail à Saint-Aubin[100].
En 1697, Léonard ANCEAU, laboureur à Corquelain, donne en bail une vache. Il ne sait pas signer[101].
En 1697, Léonard ANCEAU, laboureur à Corquelain, prend le bail de terres à Saint-Aubin[102].
En 1698, Léonard ANCEAU, laboureur à Corquelain, reçoit une promesse pour le paiement d'une dette[103].
En 1698, Léonard ANCEAU, laboureur à Corquelain, prend le bail d'une terre à Saint-Aubin. Il ne sait pas signer[104].
En 1699, Léonard ANCEAU, laboureur à Corquelain, achète des vignes à Saint-Aubin. Il ne sait pas signer[105], [106].
En 1700, Léonard ANCEAU apparaît comme marguillier lors de la présentation du curé de Saint-Aubin[107].
En 1700, Léonard ANCEAU, laboureur à Courquelain, achète des prés à La Chapelle-Godefroy[108].
En 1700, Léonard ANCEAU, laboureur à Courquelain, reprend le bail d'une maison remise par Jean GALLET. Il ne sait pas signer[109].
En 1703, Léonard ANCEAU, laboureur à la ferme de l'Hospital, déclare des biens auparavant à Michel ANCEAU de Quincey, et au lieu de Jérôme ANCEAU, de Quincey, son père, biens provenant de Marie fille de feu Claude ROSÉ[110], [111].
En 1714, Pierre PEROU dit Desroches, époux de Marie GALLET, veuve de Léonard ANCEAU, laboureur à La Chapelle-Godefroy, tuteurs des enfants mineurs du défunt, baillent à Michel ANCEAU (frère de Léonard), marchand de bois à Quincey, leur part d'héritage à Quincey provenant de la succession de Jérôme ANCEAU, leur aïeul[112].
Léonard ANCEAU et Marie GALLET sont les parents de:
En 1696, Michel ANCEAU le jeune, vigneron, déclare 59 cordes de terre au censier du seigneur de Saint-Aubin[113].
En 1710, Michel ANCEAU, vigneron à Quincey, tuteur de Anne, fille de feu Jean CHAUMARD et Anne JENNERAT, donne la moitié d'une grange en bail[114].
Michel ANCEAU et Marie JEANNERAT sont les parents de:
En 1679, Jean ANCEAU, manouvrier à Saint-Aubin, est condamné avec d'autres à payer 29 années d'arrièré sur le bail d'une vigne[116].
Jean ANCEAU et Etiennette BABELIN sont les parents de:
En 1703, Claude ANCEAU et Pierre MOREAU, époux de Marie ANCEAU (sa sur), manouvriers à Saint-Aubin, déclarent au censier de l'Abbaye du Paraclet à Saint-Aubin un bien provenant de Léonard ANCEAU et un autre de la veuve de Jean ANCEAU[118].
Claude ANCEAU et Edmée MAISTRE sont les parents de:
non × à Gillette PHILIPPE
En 1694, Nicolas ANCEAU, bachoteur à Marnay/Seine, prend le bail d'une rivière. Il ne sait pas signer[121].
× 26.2/3.3.1685 Marnay/Seine[122] à Marie BRUN, ° ca 1666/1667, () 14.5.1702 Marnay/Seine[123], fille de Jean B., voiturier par eau, /1685, et Marie DONDEAU